iA Writer : un spécialiste du Markdown et de la concentration, sans fioritures

iA Writer : un spécialiste du Markdown et de la concentration, sans fioritures

On n'est pas là pour rire

Avatar de l'auteur
Vincent Hermann

Publié dans

Logiciel

23/11/2020 16 minutes
10

iA Writer : un spécialiste du Markdown et de la concentration, sans fioritures

Dans notre série consacrée aux éditeurs de texte, place à iA Writer, une référence dans le domaine. Le maitre-mot y est « concentration », avec une interface se voulant libre de toute interférence. D’un point de vue fonctionnel, l’application est particulièrement efficace, mais ne conviendra pas à tous les usages.

iA Writer est un éditeur existant depuis des années, qui n’est pas gratuit. Des applications sont disponibles pour macOS, Windows, Android et iOS, chacune à acheter séparément pour une trentaine d’euros. Un tarif non négligeable, bien qu'inférieur à certains cadors du domaine. Des versions d'essai sont parfois proposées.

Si vous avez lu nos articles précédents, vous savez que la plupart des applications du même genre se concentrent sur une interface volontiers dépouillée. Ces produits sont conçus avant tout pour soulager l’utilisateur des distractions potentielles, en lui permettant notamment de laisser constamment les mains sur le clavier.

Le Markdown est au cœur de ces applications, avec la possibilité de mettre en forme l’intégralité du texte sans jamais recourir à la souris, même si certaines proposent des boutons. iA Writer est résolument une application centrée sur ce langage de balisage dans son sens le plus strict.

C’est un éditeur de texte, et on l’utilise pour écrire sans se préoccuper du reste. L’interface est encore plus dépouillée que Typora, une sensation accrue par la présentation générale et le choix des polices, très neutres. Derrière cette apparente simplicité, il cache lui aussi une foule de fonctions, des forces et faiblesses.

Notre dossier sur les éditeurs de texte :

Interface et généralités

Si l’on compare iA Writer aux concurrents déjà passés en revue, on se retrouve en terrain familier. À l’ouverture, la vue présentée est celle d’une zone Bibliothèque à gauche et d’une zone rédactionnelle à droite. Si l’on n’a pas besoin de la première, on peut la masquer via Ctrl + E. On est alors dans un simple cadre blanc.

Ce sentiment est largement exacerbé par le choix de l’éditeur en matière de police : une seule proposée, en trois variantes (Mono, Duo et Quattro), faite maison et fleurant bon le texte brut. On peut d'ailleurs la récupérer gratuitement depuis le site officiel.

Cette approche résolument minimaliste se retrouve ailleurs. Là où Zettlr et Typora proposent plusieurs thèmes avec des polices adaptées, iA Writer n’en propose qu’un seul, mais avec tout de même un mode Nuit, très sombre. Les textes n’y sont pas blancs mais en différents niveaux de gris. Le confort de lecture est donc très bon.

iA WriteriA Writer

Les utilisateurs préférant se servir les raccourcis clavier pourront compter sur tous les principaux, comme Ctrl + B pour le gras, Ctrl + I pour l’italique ou encore Ctrl + K pour insérer un lien. Avec ce dernier, le curseur vient se placer directement dans la parenthèse. On peut donc enchainer avec un Ctrl + V pour coller un lien.

La bibliothèque fonctionne comme on peut s’y attendre, avec deux colonnes : une pour les dossiers, l’autre pour les explorer. Dans la première, l’application référence automatiquement le dossier Documents du système. La seconde affiche le contenu de celui sélectionné. L’ensemble rappelle la vue à plusieurs colonnes du Finder de macOS.

On aurait apprécié que la deuxième colonne puisse servir, à l’instar de Typora, de plan pour le document. L’absence se fait d’autant plus remarquer qu’aucun bouton n’est disponible pour afficher la table des matières. La fonction existe bien pour l’ajouter au document, mais rien pour que l’utilisateur se déplace rapidement dans son texte.

iA WriteriA Writer

Contrairement à Zettlr et surtout Typora, il n’est pas question dans iA Writer d’un affichage WYSIWYG par défaut. L’application se destine avant tout au Markdown et la rédaction se fera donc dans ce mode exclusivement.

Cependant, via Ctrl + R (ou Mode aperçu dans le menu Affichage), on peut afficher une nouvelle zone à droite montrant le résultat tel qu’il serait en cas de publication ou d’exportation en PDF. Dans ce dernier cas, l’application affiche la pagination du futur document, une fonction bien pratique.

Pour rester dans les généralités, abordons deux points dans lesquels iA Writer ne brille pas particulièrement : le classement des informations et l’exportation. L’application ne propose de tags et de recherche dans les documents que dans sa version macOS. Pour ajouter un tag, il suffit d'inscrire un # devant le mot visé. Les termes ainsi marqués s'ajoutent à la première colonne. La recherche est présente sous forme de champ tout en bas de la deuxième colonne. On peut y chercher des éléments de titres ou de contenus. Sous Windows, rien de tout ça en dehors du traditionnel Ctrl + F pour lancer une recherche dans un document. 

iA Writer

Côté export des données, les possibilités sont assez limitées : Markdown, HTML, PDF et Word. L’application peut aussi importer les documents Word.

Il est vrai qu'iA Writer est initialement une application macOS, prompte d'ailleurs à s'adapter aux nouveautés (elle est par exemple déjà optimisée pour le SoC M1). La disponibilité d'une version pour Windows est donc un bon point. Cependant, pour le tarif demandé, identique à la version Mac, on aurait aimé que la parité fonctionnelle soit totale ou proche. Il y a cependant de grands manques, et l'absence des tags et de la recherche est un problème. Comme on le verra plus avant dans l'article, il y en a d'autres.

Écriture : l’essentiel est là

Il y a encore quelques années, iA Writer était sans doute davantage visible, car sur un créneau moins exploité. Le décor a changé aujourd’hui, car la concurrence a littéralement explosé, avec des produits ayant des approches plus souples. Mais l’application n’est pas devenue une référence pour rien.

Elle était l’une des premières à pousser un environnement entièrement libéré des distractions, se concentrant sur l’idée qu’une personne doit pouvoir continuer à écrire sans jamais lever les mains du clavier ou presque. On est donc clairement dans un environnement volontairement simpliste, dans lequel on est face à une simple fenêtre blanche (ou sombre avec le mode Nuit). Comme dit, la logique est l’inverse d’un Typora : on ne voit par défaut que du code. Un mode parfait pour celles et ceux qui veulent avant tout contrôler le balisage du Markdown.

Les utilisateurs en recherche d’un éditeur minimaliste seront servis, même si l’application peut être utilisée par toute personne souhaitant également découvrir le Markdown. En effet, en plus des classiques raccourcis clavier, toutes les options de formatage sont accessibles dans le menu Format. Outre les traditionnels gras, italique et autre, on pourra donc insérer des niveaux de titres (correspondant au nombre de #), des listes, des citations, une note en bas de page, une table des matières (interne au document) ou encore un tableau.

iA Writer

À la neutralité de l’interface et de la police s’ajoutent des modes Focus et Machine à écrire. Le premier permet de se concentrer sur le passage en cours de modification, en grisant le reste du texte. iA Writer propose d’ailleurs deux formules : ligne ou paragraphe. Le mode Machine à écrire, qui était une force de l’application à ses débuts, est maintenant assez commun. Il centralise verticalement l’affichage du paragraphe sur lequel on travaille.

Tous les outils nécessaires sont donc là. iA Writer est cependant moins souple que la concurrence, avec un parti pris très radical sur ce que doit être un environnement d’écriture. Ce qui sera justement un point fort pour certains, et une raison d’aller voir la concurrence pour d’autres.

Un mot sur la synchronisation et les outils linguistiques

L’application n’intègre en elle-même pas de synchronisation. Elle est cependant compatible avec iCloud et Dropbox et peut donc utiliser ces services pour que l’on puisse retrouver les mêmes modifications sur l’ensemble des appareils. En ce qui concerne les outils linguistiques, et outre une disponibilité en français, iA Writer dispose bien d’une vérification orthographique dans la langue de Molière. Elle est très classique, mais dépannera sans problème.

L’un des outils les plus agréables d’iA Writer, le Contrôle de la syntaxe, ne fonctionne malheureusement que sur macOS. C’est dommage, car la fonction propose de marquer des catégories de mots via une couleur. Une coloration syntaxique appliquée aux adjectifs, noms, adverbes, verbes et conjonctions. 

Dans sa mouture historique, aucun problème : les verbes sont bien colorés en bleu, les adverbes en rose, etc. Pratique pour se concentrer sur une catégorie dont on chercherait par exemple à réduire la présence.

iA Writer

Sous Windows cette fois, le logiciel fait à peu près n'importe quoi :

iA Writer coloration

Des options réduites à la portion congrue

Certaines applications se distinguent par une foule d’options capables de répondre à de très nombreux cas de figure. Ce n’est pas le cas d’iA Writer, dans lequel on ressent encore une fois la volonté d’aller à l’essentiel.

Dans Bibliothèque, on trouve tout ce qui touche au tri des éléments (date ou nom), à l’ordre inversé, à l’affichage des extensions de fichiers ou encore à celui des extraits dans la deuxième colonne.

Editeur regroupe cependant des options importantes, comme la variante de la police, sa taille (un très bon point, tous les éditeurs de texte ne le proposent pas), la longueur de ligne, la langue du correcteur orthographique, la synchronisation du défilement ou encore l’affichage des caractères invisibles, un grand classique.

Dans Modèles, on a tous les réglages généraux de la page pour les documents, avec notamment la page de titre, l’en-tête et le pied de page. Les titres peuvent être centrés et numérotés, et les paragraphes indentés. Bon point, on peut choisir plusieurs styles pour les guillemets simples et doubles, notamment les français pour les seconds.

Enfin, dans Avancé, on peut choisir l’extension des fichiers (.md par défaut), le comportement de l’application au lancement, l’activation des gestes de balayage pour les écrans tactiles ou encore l’action du filtrage XSS (par défaut sur Aperçu et Export).

  • iA Writer options
  • iA Writer options
  • iA Writer options
  • iA Writer options

Code, diagrammes, formules mathématiques : les compléments intégrés

Passons maintenant à ce qui peut faire la différence pour certains utilisateurs : le support de tout ce qui n’est pas strictement du texte, mais commun pour une partie des publications, surtout scientifiques.

La prise en charge du code (au sens large), des diagrammes, des formules mathématiques ou chimiques n’est jamais garantie dans un éditeur de texte. Dans le cas d’iA Writer, il est très partiel. Commençons par ce qui fonctionne : les formules mathématiques et chimiques. Le fonctionnement est le même que sous Typora, et pour cause, iA Writer reprend simplement la syntaxe LaTeX. L’expression $f = \frac{2 \pi}{T}$ donnera ainsi :

iA Writer maths

Même chose avec des expressions plus complexes bien sûr :

$${ J(\theta_0, \theta_1) = \frac{1}{2m} \sum_{i=1}^{m} \big( h_{\theta}(x^{(i)}) - y^{(i)} \big)^2 }$$
$${ h_{\theta}(x) = \begin{bmatrix} \theta_0 & \theta_1 & \cdots & \theta_n \ \end{bmatrix} \begin{bmatrix} x_0 \ x_1 \ \vdots \ x_n \ \end{bmatrix} = {\theta}^{T}x }$$

Cela donne le résultat suivant :

iA Writer maths

La différence entre la première expression et les deux suivantes repose sur le nombre de symbole $ que l’on place avant et après. Dans le premier cas, on parle d’intégration « inline », c’est-à-dire intégrée dans le texte, tandis que le double symbole est utilisé pour des blocs d’équation. Avec iA Writer, il n’y a pas de différence visuelle au sein de l’éditeur. Mais selon la destination de publication, un bloc apparaitra ou non, sous forme de cadre.

Notez que le symbole $ peut être remplacé par \\( et \\) pour ouvrir et fermer les expressions intégrées, ou \\[ et \\] pour les blocs. Certains préfèrent ces symboles car ils améliorent la lisibilité, le symbole $ devant être collé en début et fin d’expression, les autres s’utilisant avec des espaces. L’expression elle-même se voit donc mieux.

Malheureusement, il ne faudra pas chercher beaucoup plus loin. Pas question ici d’intégrer des diagrammes, des graphiques ou des formules chimiques. Du moins pas de manière simple.

Le site de l'éditeur propose tout de même un guide très pratique (en anglais seulement) de toutes les fonctions utilisables en Markdown. On y trouvera toutes les manipulations classiques, et d'autres moins courantes comme les emphases, le surlignage et les tableaux, ces derniers étant toujours une partie de plaisir (non) en Markdown.

Les grandes forces d’iA Writer…

iA Writer se destine très clairement à celles et ceux voulant se concentrer sur leur écriture sans être distrait par quoi que ce soit. Même si le logiciel est payant, les tarifs proposés ne sont pas exagérés au vu de la qualité de l’ensemble. S’il faut dépenser une trentaine d’euros par machine, la licence est perpétuelle.

Pour un investissement somme toute restreint, l’application rendra de nombreux services, aussi bien à ceux connaissant déjà le Markdown que d’autres qui aimeraient le découvrir. Oui, iA Writer n’est pas le plus souple, mais la plupart de ses fonctions sont accessibles depuis des menus, voire des raccourcis claviers. Le mode Aperçu (Ctrl + R) peut également être un très bon outil d’entrainement, puisqu’il affichera en temps réel le résultat des balises.

La plus grande force d’iA Writer réside cependant sans doute dans sa capacité de publication. Du moins si vous l’utilisez sous macOS. Dans ce cas, on pourra se rendre dans les options de l’application et renseigner son compte Wordpress ou Medium pour pouvoir y publier directement son document. On aimerait cependant que cette fonction soit disponible dans les autres moutures d’iA Writer et que le nombre de services pris en charge soit plus important, même s’il s’agit des deux plus importantes et que l’on peut toujours exporter en HTML.

Il s’agit en fait là du scénario principal d’utilisation, dont l’application s’est finalement peu éloignée avec le passage des années (iA Writer existe depuis presque une décennie).

…et ses faiblesses

Le plus gros défaut de l’application est, à notre sens, son manque d’outils organisationnels. Si iA Writer permet de ranger des documents en colonnes montrant leur répartition dans des dossiers, ce classement n’a rien à voir avec celui dont peut avoir besoin une personne travaillant sur de gros projets.

Sans labels ni moteur de recherche, il est déjà très complexe de s’y retrouver quand le nombre de pages commence à véritablement augmenter, sans parler d’un travail de bibliographie. iA Writer n’autorise pas non plus les déplacements de parties de textes, pas plus qu’il ne permet le déplacement libre des documents dans leur colonne. Il n’est pas toujours simple non plus de s’y retrouver sans la fonction Plan.

Pour être juste, iA Writer ne s’est jamais positionné comme outil dédié aux écrivains ou scénaristes. Cependant, les options d’organisation deviennent essentielles dès lors que la taille des projets augmente. Des projets qui pourront d’ailleurs difficilement être scientifiques, du moins sortis des mathématiques.

On aimerait également que l’application se renforce dans ses options visuelles. Un vaste chapitre, dans lequel on trouve aussi bien des thèmes (totalement absents, en dehors du mode Nuit), des polices supplémentaires et le support du français pour la coloration syntaxique. Cette dernière est en l’état frustrante, car coloriser des catégories de mots est une excellente idée. Selon ce que l’on écrit, on peut être amené à privilégier ou au contraire combattre certains mots, comme les adverbes. iA Writer gagnera clairement des points le jour où il saura le faire en français.

À qui s’adresse iA Writer ?

Moins souple, il ne s’adresse pas à tout le monde. Il brillera dans des scénarios finalement courants comme la prise de notes (même si ce serait « gâcher ») et la publication de pages statiques vers un blog Wordpress ou Medium.

La prise en charge du Markdown y est excellente, et pour cause : le logiciel lui est entièrement dédié. Il est suffisamment simple d’utilisation pour convenir aux débutants, grâce notamment à son mode Aperçu. Il surpasse peut-être d’ailleurs dans ce domaine des solutions comme Typora et Zettlr qui affichent en temps réel le résultat du balisage, alors qu’iA Writer ne jure que par le code.

Si vous cherchez un environnement sans distraction pour rédiger des documents de taille courte à moyenne, que votre budget est limité et qu’il vous arrive de publier vos textes en ligne, iA Writer est peut-être fait pour vous. Pour les travaux de plus longue haleine, surtout incluant une bibliographie, mieux vaudra regarder chez la concurrence.

Le placement d'iA Writer dans l'offre générale a beaucoup changé ces dernières années avec l'apparition de projets comme Zettlr et Typora, eux aussi orientés grand public, mais proposant une approche plus souple et flattant davantage le regard, selon les goûts. iA Writer a un peu perdu de sa superbe depuis, mais reste une référence.

On aimerait enfin que l'éditeur fasse un effort sur sa version Windows. La parité fonctionnelle est loin d'être complète, en dépit d'un tarif identique. 

Écrit par Vincent Hermann

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

Interface et généralités

Écriture : l’essentiel est là

Un mot sur la synchronisation et les outils linguistiques

Des options réduites à la portion congrue

Code, diagrammes, formules mathématiques : les compléments intégrés

Les grandes forces d’iA Writer…

…et ses faiblesses

À qui s’adresse iA Writer ?

next n'a pas de brief le week-end

Le Brief ne travaille pas le week-end.
C'est dur, mais c'est comme ça.
Allez donc dans une forêt lointaine,
Éloignez-vous de ce clavier pour une fois !

Fermer

Commentaires (10)


J’essaie de voir dans quel cas ce logiciel est utile, mais j’ai vraiment du mal à comprendre. Ça n’a pas l’air user friendly.
Si quelqu’un l’utilise, je veux bien un retour d’expérience. Et pourquoi l’utiliser plutôt qu’un vulgaire Word ?


“Si quelqu’un l’utilise, je veux bien un retour d’expérience. Et pourquoi l’utiliser plutôt qu’un vulgaire Word ?”



Pour pouvoir écrire directement en Markdown, et n’avoir aucun distraction quand on écrit. Pas de barre de statut, de menu en en-tête, rien du tout.


Hello !



Le soft utilise bien un système de tag pour la bibliothèque. Il suffit de les ajouter dans le texte sous la forme “ #tag “, ensuite les catégories apparaissent dans le menu de gauche : d’un clic on récupère la liste de tous les documents concernés.


Désolé pour le flood, 2e petite erreur dans le texte : il y a bien un champ de recherche pour les documents. Dans la 2e colonne, en bas, il y a un champ “filtre” : c’est la recherche sur les documents du dossier courant.




Recherche https://zupimages.net/up/20/48/l34v.png
Et tant que j’y suis, les tags : https://zupimages.net/up/20/48/81pc.png





Petit truc sympa, la barre d’outil qui apparait en bas de la fenêtre de saisie si on approche la souris et qu’on a oublié un raccourci clavier : https://zupimages.net/up/20/48/ydta.png



:chinois:


Un dernier et promis j’arrête :D



La coloration syntaxique fonctionne au poil sur ma version : https://zupimages.net/up/20/48/ki23.png



Il y a un autre moteur de recherche intégré à l’app via le raccourci shift + commande + O (ou via le menu “Aller” : un champ flottant apparait sur la fenêtre et permet de recherche n’importe quel document. > https://zupimages.net/up/20/48/ot2u.png



A noter que les tags renseignés apparaissent aussi dans le menu “Aller” : https://zupimages.net/up/20/48/x6d8.png



En plus de la coloration syntaxique, il y a un la vérification de style. Son rôle est de suggérer des faiblesses dans le style de la rédaction, comme le ferait un éditeur. Une fois activé, certains mots ou groupes de mots sont barrés et grisés pour suggérer le retrait, libre à l’utilisateur de suivre ou non. Cela fonctionne aussi en français : https://zupimages.net/up/20/48/jp2e.png



On parle souvent du modèle austère et direct d’iA Writer, mais moins de sa capacité à accepter des modèles de mise en page personnalisés.



Aussi, quelques options pour organiser la bibliothèque : https://zupimages.net/up/20/48/0xop.png



Encore une fois désolé pour le multi message :incline:
J’ai quand même le sentiment d’un “test” un peu rapide du soft, il manque quelques infos, sans compter les imprécisions relevés ci-dessus :keskidit:


Bonjour, après vérification, il s’agit de fonctions spécifiques à la version Mac. Je vais modifier l’article, merci et désolé pour ces manques :chinois:


Vincent_H

Bonjour, après vérification, il s’agit de fonctions spécifiques à la version Mac. Je vais modifier l’article, merci et désolé pour ces manques :chinois:


Pas de souci Vincent, merci à toi pour ta réponse :yes:


Vincent_H

Bonjour, après vérification, il s’agit de fonctions spécifiques à la version Mac. Je vais modifier l’article, merci et désolé pour ces manques :chinois:


Salut, Je n’ai pas trouvé la liste des éditeurs qui seront testé dans ce dossier mais celui-là en fera partie ?
https://marktext.app/


harz62

Salut, Je n’ai pas trouvé la liste des éditeurs qui seront testé dans ce dossier mais celui-là en fera partie ?
https://marktext.app/


Il n’y a pas réellement de liste, mais Mark Text est en cours d’écriture, car vous avez été plusieurs à m’en parler :chinois:


Le gros soucis que j’ai avec le markdown de manière générique est l’absence d’un standard pour les tabelaux quand seulement il est possible d’en créer.



C’est juste la loose d’être obligé de passer en bloc de code et mettre des caractères semi-graphiques pour en dessiner.



C’est vraiment un epic fail pour moi. Même avec Latex il est possible d’en créer.



C’est vraiment dommage car je pense que le principe est vraiment bon par rapport aux traitements de texte car on revient au fond (titre, listes, emphases…), là où tout n’est que mise forme dans word (dans word, un titre n’est qu’une mise en forme spéciale).