Comme chaque samedi à 13h37, Flock pose son regard acide sur l'actualité dans le domaine numérique. Il publie ainsi une chronique regroupant cinq dessins (ou plus) en rebond sur nos articles.
Cette semaine était un peu spéciale pour Flock. En plus de devoir produire ses dessins hebdomadaires, il travaille à sa grande fresque inspirée de « La Cène » représentant l'équipe. Elle sera livrée à certains des contributeurs de la campagne de financement participatif de notre premier magazine, qui vient d'être lancée.
Et cela ne fait que commencer puisqu'il devra aussi proposer d'autres dessins exclusifs et des caricatures avant d'intervenir plus directement dans le magazine. De quoi frôler la surchauffe créatrice. Un peu à la manière de cette nouvelle adaptation de Fahrenheit 451 qui arrive sur HBO ou de nos parlementaires qui n'arrivent pas à se mettre d'accord sur le contenu du projet de loi sur la vie privée, préparant simplement l'arrivée du RGPD.
Pendant ce temps, les machines continuent leur bout de chemin à base d'IA. Certains l'espèrent au service de l'écologie, alors que d'autres continuent de craindre qu'elle ne finisse par causer notre perte... les deux pouvant être liés si l'on s'en réfère à des œuvres telles que Matrix. À moins que nous finissions par le faire de nous-même bien avant Le Soulèvement.
Mais s'il n'y avait une perte à pleurer cette semaine, ce serait celle de NoLife. Après plus de dix ans au service de son public, la chaîne ferme définitivement ses portes. L'émission The end of [N]olife est programmée pour demain, à 19h. Tout notre amour à cette équipe qui a su faire rire et rêver toute une génération, à sa manière.
Cette chronique est financée grâce au soutien de nos abonnés. Vous pourrez la retrouver en accès libre dès la semaine prochaine, comme toutes les précédentes publications de Flock dans nos colonnes.