À l’issue de sa rencontre avec le président de Google, François Hollande a annoncé qu’il donnait deux mois au géant de l’internet pour trouver un accord avec les éditeurs de presse. Faute de quoi, une loi pourrait être adoptée par les pouvoirs publics.
Comme prévu, le président exécutif de Google a bien été reçu par le chef de l’État, hier en fin d’après-midi. Éric Schmidt s’est ainsi entretenu à l’Élysée avec François Hollande. Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, et Fleur Pellerin, ministre déléguée à l’Économie numérique, étaient également présentes.
Au programme, le fameux projet de « taxe Google », qui permettrait de créer un nouveau droit voisin en faveur des éditeurs de presse, et qui serait prélevé sur les moteurs de recherche et les agrégateurs d'actualités. Dans son communiqué, l’Élysée confirme ainsi que François Hollande « a indiqué à son interlocuteur que le développement de l'économie numérique appelait une adaptation de la fiscalité afin de mieux appréhender le partage de la valeur ajoutée et le financement de la création de contenus sur chaque territoire ».
Un accord d’ici fin 2012 ou le gouvernement interviendra par voie législative
Sur le contenu de ces échanges, seul a filtré l’ultimatum fixé à Google par le chef de l’État. Ce dernier a en effet « souhaité que des négociations puissent rapidement s'engager et être conclusives d'ici la fin de l'année entre Google et les éditeurs de presse », indique l’Élysée. Autrement dit, François Hollande donne environ deux mois au géant de l’internet pour s’accorder avec les professionnels de la presse française, « le dialogue et la négociation entre partenaires » lui paraissant être « la meilleure voie ».
Mais si aucune négociation n’aboutissait d’ici fin 2012 ? Après avoir sorti la carotte (un éventuel accord avec les éditeurs), François Hollande montre le bâton : « si nécessaire, une loi pourrait intervenir sur cette question, à l'instar du projet en cours en Allemagne ». En d'autre termes, le président de la République menace Google de légiférer si aucun accord n'était trouvé avec les éditeurs de presse d'ici la fin de l'année. Toutefois, les deux parties seraient gagnantes à ce qu'il y ait un arrangement : Google pourrait obtenir un cadre moins rigide que celui d'une loi, et les pouvoirs publics feraient l'économie d'un texte de loi, coûteux en temps et sur le plan politique.
Table des négociations
Interrogée hier soir par RTL, Fleur Pellerin a donné quelques détails supplémentaires sur cet entretien auquel elle a participé. « Il n’y avait pas de menace dans le ton de François Hollande », a assuré la ministre déléguée à l’Économie numérique. Selon elle, l’ultimatum fixé par le président de la République doit d’ailleurs être relativisé, notamment en ce que la déclaration de l’Élysée utilise un conditionnel : « une loi pourrait intervenir sur cette question ».
Les regards sont maintenant tournés vers Google, après que le géant de l’internet ait menacé il y a quelques semaines de déréférencer les sites de presse français, au cas où une loi serait votée en sa défaveur. Toujours selon Fleur Pellerin, le président exécutif de la firme de Mountain View s’est montré « ouvert à la discussion » lors de son entretien à l’Élysée. « Le président de Google, je pense, est prêt à se soumettre à la loi des pays dans lesquels il opère, a-t-elle précisé. Maintenant, cette loi, elle n’existe pas encore, et le président de la République a au contraire rappelé qu’il souhaitait que des négociations puissent s’engager rapidement entre Google et les éditeurs de presse ». Et la locataire de Bercy de croire en la bonne volonté de la firme de Mountain View : « Je suis optimiste dans la mesure où je pense que c’est une discussion qui ne se focalise pas que sur cette question là, je pense qu’il y a une volonté de la part de Google de participer à la création d’un écosystème numérique en France ».
Clin d'oeil à la CNIL
Notons enfin que le communiqué de l’Élysée insiste sur un dernier point : le respect par Google des règles relatives à la protection des données personnelles. Il apparaît en effet que « le président de la République a souhaité être informé des suites que Google entend donner aux questions qui lui ont été adressées par les autorités de régulation européennes sur la protection des données personnelles et leur utilisation ». Il y a deux semaines, la firme de Mountain View a effectivement été sommée par les CNIL européennes de revoir sa politique de confidentialité des données personnelles, « afin d'éviter une collecte excessive de données ».
Commentaires (151)
#1
François Hollande montre le bâton
Fait il vraiment peur à des entreprises de cette taille ?
#2
Attention google, Super Flanby arrive! " />
Ils cesseront de référencer les médias FR, qui constateront ensuite par eux-même les conséquances… " />
#3
« a indiqué à son interlocuteur que le développement de l’économie numérique appelait une adaptation de la fiscalité afin de mieux appréhender le partage de la valeur ajoutée et le financement de la création de contenus sur chaque territoire
Le voilà le problème à l’air d’Internet et du tout connecté… c’est que les territoires ne sont vraiment utiles mais plus un frein qu’autre choses.
Après avoir sorti la carotte (un éventuel accord avec les éditeurs)
Je ne sais pas si Google voit ça comme une carotte lui^^
#4
J’aurais plutôt classé cette news dans “ racket ” que dans “ loi ” " />
#5
C’est con, mais j’éspère qu’ils vont légiférer et que google va du coup dé-référencer tout les articles/journaux de son moteur de recherche.
Ainsi, chute des visites (cf chez nos amis Belges), baisse des revenus publicitaires, baisse de notoriété, parfait!! Et nos amis de la presse reviendront dans 2 mois la queue entre les jambes..!
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Encore une loi…" />
#7
ahahahahahah hollande qui joue les gros…. bras face à google..
déjà que face à l’Europe c’est un caniche.
enfin bon la réponse on la connais : après une incroyable prise de bec de 2 minutes google a fais remarquer au président qu’il peut aller se brosser vue le peu d’amis G+ qu’il possède. Notre cher président a répondu “ g+ gné ?”
Hollande va donc contrattaquer de manière brutale : tous les Français sont invités a changer leurs page d’accueil. L’honneur de la France est sauvé ! Google aurait répondu : oui oui, bon on peut partir maintenant ? on brasse nous….
#8
Devant la finance, il fait moins le malin. C’est dire s’il méconnaît les enjeux du net…
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j’espere bien que google va les déréférencer ! parce que ras le fion des décisions a la noix des précédents gouvernements et de celui ci en particulier !
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Sur le numérique, ils sont finalement aussi con à gauche qu’à droite …
Quel parti on a pas essayé encore ? " />
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si le gros a lunettes crois que Google va être aussi facile à traire que ses citoyens…
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Faute de quoi, une loi pourrait être adoptée par les pouvoirs publics.
Et demain sur RTL, Ayrault fera un rappel à l’ordre? " />
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Bon en tout cas il ne reste plus qu’à Google de dire aux éditeurs de presse d’aller se faire m, déréférencer tout ces c là et regarder le résultat. Sans oublier d’oublier la France pour les services de Cloud au moment où la taxe copie privé sera étendue.
Finalement, c’est un choix de relance économique qui se tient : on pourrit bien comme il faut les secteurs d’avenir tels que le numérique, et on relance à coup de taxes, de mesures débiles et d’aides gouvernementales des secteurs complètement moribonds. Pas con!
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Faute de frappe dsl " />
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Mais merde. Faite payer ses impôts a google mais çà na pas a aller plus au site de presse qu’au français.
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Comme je l’ai indiqué sur Google+, petite question à tous les journaux qui font une crise à propos de Google Actus : que faites-vous du droit à la citation ?
Article L122-5 du Code de la Propriété Intellectuelle :
http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006069414&idArticle=LEGIARTI000025003518&dateTexte=20121030)
« Lorsque l’œuvre a été divulguée, l’auteur ne peut interdire : …
3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l’auteur et la source :
a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information de l’œuvre à laquelle elles sont incorporées. »
Tout un chacun a donc le droit de reprendre le titre et le chapeau d’un article à condition de dire de quel journal ça vient et de mettre un lien. Ce ne serait pas l’essence même de Google News par hasard ?
Parce que c’est bien gentil de vouloir pondre des lois pour satisfaire les copains éditeurs, mais on va ici briser une égalité : un particulier aura le droit de citer et pas Google ?
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Deux mois !
Google va laissé mijoter .
Et peut être déférencer un journal ( pourquoi pas le Nouvel Os et la grande gueule de Joffrin pour le mettre dans sa merde ). pour l ‘ exemple .
Et bientôt, on n ’ en parleras plus.
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Faute de quoi, une loi pourrait être adoptée par les pouvoirs publics.
comme pour les médecin ils ont été mort de peur " />
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C’est marrant, dans les commentaires on a souvent les haters qui postent vite leur biles puis on a des trucs un peu plus argumentés voir instructifs.
Merci aux seconds.
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Mouais… et si ils laissent arriver la loi, mais qu’ils rendent le referencement des pro payant, a la hauteur de la taxe prevue ?
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Wait & See !
Je me prépare du pop-corn et attends la victoire de Google face à la mafia…
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Légalement, est-ce que l’état peut réellement créer une loi pour forcer Google (enfin tous les moteurs de recherche plutôt) à rémunérer les journaux ?
Qu’est ce qui l’empêche de juste fermer le service en France ?
& où est maitre Eolas quand on a besoin de lui ?" />
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Ça sent comme un tsunami capitaliste sur l’Internet " />
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GG Hollande
Ouf, enfin on peut dire : LE Changement c’est maintenant " />
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Les taxes tues notre pays à petit feu
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Ils peuvent déréférencer la presse française, mais recabler toute l’Europe en évitant la France, c’est trop cher pour eux, donc ils vont devoir aller dans le sens du gouvernement.
?????? " />
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C’est tout de même pas une multinationale qui va imposer sa volonté à un Etat !
J’espère que l’Italie et l’Allemagne suivront.
Google pliera.
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Google est le seul vidé par cet ultimatum ? C’est pas une sorte d’influence du marché des moteurs de recherche que d’imposer ce type d’accord uniquement à Google ?
De toutes façon, je pense que n’a aucun intérêt d’accepter quoi que ce soit maintenant. Il font mieux d’attendre une éventuelle loi qui s’appliquera pas seulement à eux et puis le temps que la loi arrive, si elle arrive…
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dialogue constructif du 1er novembre:
cela représentera 4 millions d’euros par mois.
Nous vous demandons 1 euro pour 1000 clicks envoyés à partir de google news sur vos articles entiers..
" />
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Ce qui est absurde c’est qu’il suffirait que ces sites éditent leur robots.txt
Soit on refuse de se faire référencer, soit on accepte. Point barre. " />
En laissant Google référencer leurs articles, c’est un aveux qu’ils en ont besoin. Non ?
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D’après ce que j’ai vu dans les livres d’histoire, quand un gouvernement lance lois sur lois pour prendre l’argent du peuple, la guerre civile n’est pas loin.
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François décide, ILS (s’)exécutent ! " /> " />
comment ça ? j’ai pas bon ??? " />
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Il existe pourtant un précédent de résistance totale à Google : le Brésil.
J’ai entendu hier soir que depuis qu’ils n’acceptent plus le référencement du géant américain, leur taux de visites n’a baissé que de 5% (et c’est en constante diminution).
http://www.pcinpact.com/news/74696-au-bresil-journaux-preferent-ne-pas-etre-refe…
Donc ce n’est pas impossible de se passer de l’hégémonique moteur de recherche US !
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Il est vrai qu’on peut se demander pourquoi l’Europe ne se doterait pas d’un moteur de recherches (Open Source tant qu’à faire), pourquoi TOUJOURS dépendre ainsi des autres ?
Je n’ose même plus parler que de la France, qui ne sait plus rien faire à part faire des taxes, alors je parle de l’Europe qui pourrait peut-être un peu investir dans la recherche, les techniques informatiques, les réseaux !?
On a l’impression qu’à part faire dans la finance, l’argent facile en somme, sur le dos de la population, rien d’autre n’existe. " />
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Les deux derniers Présidents nagent dans le conflit d’intérêt, une femme chanteuse et une femme journaliste, et direct une loi dans le même sens " />
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Oui, Google peut envoyer chier le gouvernement, déréférencer tous ceux qui l’emmerdent, c’est une entreprise privée, toute puissante.
Par contre elle joue ici son image, passer pour une brute ou passer pour un gentil. La France c’est petit mais c’est pas rien, et si l’Allemagne s’y met puis d’autres pays d’Europe, ils ont beau avoir tord et rien comprendre à l’économie du net, ils représentent quand même une base de clients bien réelle.
Rappelons-nous le slogan de google: DON’T BE EVIL.
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Si j’étais à la place de Google, je dé-référencerais la presse qui soutient la taxe, ainsi que tout les sites de l’administration Française.
Non mais franchement il veut nous sortir quoi comme loi le Flanby? Y a pas autre chose de plus important en ce moment ? Et puis merde pourquoi on verse des aides à tout le monde (presse, cinema…)? Les journaux sont privés, ce sont des entreprises, ils n’ont qu’a se débrouiller merde.
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on ne peut pas demander une taxe juste pour google comme on ne peut pas leur en vouloir de se défendre.
A nous de trouver une solution pour contrer google si on veut proteger les editeur presse
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Les éditeurs de presse ne comprennent rien.
Moi, j’ai découvert PC INpact grâce à Google Actualité.
Et aujourd’hui je suis INpactien Premium " />
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Ca va être chaud pour google si chaque pays demande sa taxe pour les journalistes et pour x autres secteurs.
Ce matin à la radio, ils parlaient d’un pays ou les organismes journalistiques ont décidés de ne plus laisser libre accès aux informations.
Voir, songaient à ne plus mettre à disposition gratuitement (pour le public) lesdites informations.
Ce qui dans le fond (me) semble plus logique.
Si on file des trucs gratuitement. Es ce logique de se plaindre après de ne pas faire du revenu avec.
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Notre président s’essaie à un nouveau concept: l’ultimatum!!!
Je me demande vraiment s’il a conscience de ce qu’il fait.
Google n’a peut-être, (mais vraiment peut-être car il vient juste d’ouvrir un centre de R&D en France), pas de poids en France. Mais aux Etats unis, ce n’est pas la même chose et cette histoire pourrait rapidement dégénérer en incident diplomatique.
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Google trouvera un accord avec la presse ou appliquera la Loi qui sera voté.
Malheureusement.
Tout puissant qu’ils sont, si France, Allemagne et Italie s’y mettent ça fait lourd. Mais surtout l’Etat a des moyens de pression non négligeables :
-Google est dans la ligne de mire des autorités de surveillance de la concurrence et eux ils peuvent taper très fort.
-Google est dans la ligne de mire du Fisc.
-Personne ne descendra dans la rue pour protéger Google.
Perso j’aimerais que Google se fasse taper pour abus de position dominante mais j’aimerais vraiment qu’ils déréférencent, histoire de rigoler un peu….
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pas de menace dans le ton de hollande ?
la phrase est pourtant claire:
“mettez vous d’accord* ou on vous mettra d’accord de force par une loi”
*sachant que la presse est convaincu d’avoir raison, et donc si google n’est pas d’accord avec la presse c’est à google de ceder aux demandes de la presse
on fera une loi equivalente à l’avis de la presse (bah oui on va pas faire une loi en faveur de gogole non plus hein)
en gros fais ce que l’autre te dis ou bien je te force à le faire… aucune menace c’est clair
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La news n’aurait pas pu être sous-titrée “Si tu reviens j’annule tout” ?
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Pourquoi est-ce que l’Elysée était interdit aux journalistes lors de la rencontre entre le PDG de Google et Flamby ?
L’Elysée fermé aux médias pour l’arrivée d’Eric Schmidt
ahahahahahah hollande qui joue les gros…. bras face à google..
déjà que face à l’Europe Rottweiler c’est un caniche.
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Soit on trouve un accord, soit je te trouve un accord.
Après la loi-fait-divers, la loi-chantage.
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Quand on voit le “succès” " /> que ça a été avec les médecins, on est en droit de s’inquiéter.
‘fin, “on” càd tout le monde sauf Google
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Je peux plus éditer, dsl… mais ça devrait te donner un avis :
http://www.oecd.org/fr/danemark/etudeeconomiquedudanemark2012.htm]
Edit : bon, tâchon un jour, tâchon toujours… je sais toujours pas insérer un lien… désolé :s
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Ce qui me fait le plus rire dans cette histoire, c’est que devant cette situation pour le moins complexe, notre cher nouveau président n’a rien trouvé de mieux que de fixer un ultimatum de 2 mois à Google….
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Trop tard pour edit.
L’hypothèse de couper l’accès à Google était en réponse à quelqu’un qui conseillerait à Google de déréférencer les sites de l’administration Française. La solution peut sembler extrême je l’accorde, mais c’est ce que je ferai. De là à dire que je suis stupide …
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« La mort, ou tchi-tchi ! » " />
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Je vois deux grands problème dans cette histoire :
1/ Avec cette histoire de “taxe Google”, on a l’impression qu’il veut faire une loi qui ne s’adresse qu’à cette acteur en quasi-monopole, sans se soucier de la concurrence, qui existe quand même, alors que la loi doit être LA MÊME POUR TOUS.
C’est un peu comme si la loi interdisant la vente liée Ordinateur + OS ne s’appliquait qu’à Microsoft (Ah, c’est le cas?" />" />)
2/ Si Google doit verser une taxe pour référencer les sites d’actus, alors pourquoi seuls ces derniers en profiteraient? Google devrait également verser cette “dîme” à tous les sites qu’il référence :
…
Je ne vois vraiment pas en quoi Google profite plus des journaux en ligne que du reste des contenus disponibles sur la toile.
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Je me contredit (peut-être) certainement sur certains posts, mais le fait de linker des sujets d’info à l’intérieur des sites d’info nuisent peut-être au possesseur du site. L’exemple pris du taxi qui dépose le client au restaurant est une indication, le client choisi peut-être le restaurant en fonction de ce qu’ont lui offre, Google lui propose d’autres choix que si le client n’a pas trouvé mieux (faut-il prouver que la recherche a été dirigée ?).
Sur un site journalistique est-ce vraiment différent ? (non, puisqu’il propose une multitude de choix en fonction de ce qui est disponible, Médiapart a une page réduite sollicitant l’abonnement pour voir la suite, pourquoi les grands journaux n’en font pas autant ? (Sont-ils différents, à demander d’être rémunéré, alors que les autres utilisent une méthode pro-active) de quoi ont-ils peur ?
Les alternatives existent, non ? Mais, ils veulent être les primesautiers de l’info sur Internet " /> " />" />" />
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#148
Je suis surfeur lambda, je surfe sur internet et je vois une page réduite de Médiapart et une page ouverte de Figaro, il est un fait que je ne vais pas spéculer des intentions du Figaro à être visible ou non, je vais là où c’est ouvert " />
si Google devait payer pour “Figaro ou autres”, crois-tu que je paierais Google pour voir les news ? (parce que si Google demandait aux internautes de payer leur moteur, il ne restera plus longtemps numéro un des moteurs de recherche) " />
Qu’il soit Américain n’est pas le problème, c’est un moteur de recherche qui se fait payer pour être mieux référencé, il me semble, c’est quand même bizarre que c’est lui qui doit payer (si, il devait payer des taxes, il ne serait sensé le faire que pour les pays où il a reçu du fric pour mieux référencer, non ?) et pas ailleurs.
S’il était payé par un des journaux Français pour être mieux référencé. je ne verrais pas d’objections qu’il soit taxé que pour celui qui a payé un meilleur référencement " /> (soit ils l’avouent, soit, il n’avouent rien, dans ce cas soit certaines Presses fraudent envers l’état, soit ils paient officiellement Google pour être mieux référencé, ce qui me semble bien différent)
Je ne vois pas pourquoi désindexer serait illogique, Google n’est pas le seul moteur, n’est-ce pas ? Quelle est le moteur fragilisé par google accepterait ce deal ? " />
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