Prise en main de Linux Mint 19 et de TimeShift, son outil de restauration

Prise en main de Linux Mint 19 et de TimeShift, son outil de restauration

Let's go Marty !

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Vincent Hermann

Publié dans

Logiciel

05/07/2018 14 minutes
46

Prise en main de Linux Mint 19 et de TimeShift, son outil de restauration

La très attendue version 19 de Linux Mint est disponible depuis peu. Son plus gros apport est le passage à Ubuntu 18.04, en lieu et place de l’ancienne base 16.04. Nous l’avons prise en main dans sa déclinaison Cinnamon, riche en nouveautés.

L’orientation de cette distribution a toujours été très simple : reprendre les bases d’Ubuntu, mais en gardant une ergonomie proche de l’ancien GNOME 2 et son menu principal. C’est le cas pour les deux environnements habituels fournis, Cinnamon et MATE. Une mouture Xfce est cependant proposée, davantage tournée vers les petites configurations.

Petit tour du propriétaire sur la version « historique » de Mint, c’est-à-dire Cinnamon. Les apports et améliorations sont particulièrement nombreux. Au-delà du renouvellement graphique via le thème Mint-Y, les utilisateurs pourront notamment compter sur des performances à la hausse et un système de restauration plus complet.

Une mise en garde cependant : les instructions de mise à niveau depuis les anciennes versions de Mint viennent tout juste d’être mises en ligne. C’est l’une des spécificités de la distribution, les développeurs déconseillant la migration pour « le seul plaisir d’avoir la dernière version ». En clair, si tout fonctionne, pas besoin de se précipiter.

L'équipe recommande aux utilisateurs de réfléchir avant de se lancer et fournit quelques conseils, dont la sauvegarde des données personnelles (évidemment), la création de snapshots (dans Mint 18.3) et le test de Mint 19 depuis le Live CD.

Nouvelles bases techniques et évolutions graphiques

Pour tous ceux qui utilisaient la branche 18.X de Linux Mint, le plus gros changement introduit par la version 19 est le passage d’Ubuntu 16.04 à 18.04 comme base du système. Mint maintient le principe de ne reposer que sur des moutures LTS (Long Term Support) de la distribution de Canonical, accompagnées par cinq ans de support. Celui de Mint 19 est donc assuré jusqu’en 2023.

Cette vaste modernisation du socle s’accompagne du kernel Linux 4.15, qui introduisait pour rappel les premiers correctifs pour les failles Meltdown et Spectre. Parmi les autres nouveautés, on trouvait un pilote AMDGPU nettement amélioré, dont le support de l'audio HDMI/DisplayPort sur les puces récentes et des Radeon RX Vega et APU Raven Ridge, le suivi thermique pour l'architecture Zen, un meilleur support d'AVX-512, la prise en charge de RISC-V ou encore celle de la partie graphique des processeurs Coffee Lake.

Avec Mint 19 viennent également de nouvelles versions des logiciels habituels. Ici, pas de surprise non plus : l’équipe de développement reste autant que possible sur des moutures dont la fiabilité a été prouvée et/ou disposant d’un support allongé. Cas type, Firefox, présent en version 60, estampillée ESR (Extended Support Release) par Mozilla, ce malgré la publication récente de Firefox 61.

Mint 19 Tara Cinnamon

Tara est bien sûr l’occasion d’introduire un nouveau thème graphique. Baptisé Mint-Y, il modernise encore l’interface, sans renier ses fondations. On reste donc dans un ensemble très propre, où les détails ont été particulièrement travaillés. C’est d’ailleurs l’une des marques de fabrique de la distribution, qui la rendent agréable au quotidien. Mint-Y s’accompagne pour l’occasion de nouveaux fonds d’écran et d’animations bien placées et réactives.

Au premier lancement, Mint vous accueille avec un nouvel écran, au contenu remanié et complété. Le deuxième onglet en particulier pointe à l’utilisateur les principales sections sur lesquelles il devrait se pencher : création de snapshots, gestion des pilotes, installation de codecs, mises à jour, paramètres système et ainsi de suite. Pratique, ne serait-ce que pour montrer les possibilités de la distribution. L’écran se relancera à chaque démarrage, à moins de décocher la case en bas de la fenêtre.

TimeShift veut promouvoir la restauration système

Le mécanisme de restauration système n’a bien sûr rien de nouveau. Pour Mint, il a été introduit dans la version 18.3 du système. Il permettait déjà de réaliser des snapshots (instantanés) du système, mais il est maintenant mieux intégré et plus présent.

D’un outil optionnel, on passe à un composant clé, au cœur de la stratégie de fiabilité du système et présenté comme tel. Le plus difficile pour le non-initié sera sans doute de choisir entre les deux possibilités laissées au premier lancement : RSYNC ou Btrfs. Les deux ont leurs avantages et inconvénients.

Dans les deux cas, l’utilisateur pourra restaurer le système à un état antérieur. RSYNC a pour lui la possibilité de déplacer les snapshots sur un disque externe, quel que soit le système de fichier utilisé, tant qu’il est de type Linux (donc pas NTFS évidemment). Btrfs a une granularité plus importante et prend moins de place. Cependant, la partition système doit impérativement être elle-même en Btrfs  (Mint formate par défaut en Ext4, comme de nombreuses autres distributions) et les sauvegardes ne peuvent pas être déplacées sur un support externe.

Mint 19 Tara Cinnamon TimeShiftMint 19 Tara Cinnamon TimeShiftMint 19 Tara Cinnamon TimeShift

Dans notre cas, avec une configuration en Btrfs, l’opération s’est très bien déroulée. Le test était simple : une image du système après son premier démarrage, puis une autre après installation des premières mises à jour. La restauration de la première image a été pratiquement instantanée. Après redémarrage, les mises à jour devaient être réinstallées. Nous avons alors restauré la seconde image, elle aussi instantanément. Plus aucune mise à jour n’était disponible, prouvant bien que le système était revenu à son état d'origine.

Ce test ne prétend pas prouver la fiabilité sur le long terme de la fonction. Mint prévient d’ailleurs : « Ce logiciel est livré sans aucune garantie et l’auteur ne prend aucune responsabilité pour les dégâts occasionnés par l’utilisation de ce programme », l’utilisateur étant invité à ne pas continuer s’il refuse ces conditions. L’équipe semble cependant assez sûre d’elle, TimeShift étant poussé sous les feux des projecteurs dans l’annonce de Mint 19.

L’utilisateur devra surtout faire attention à l’espace disponible. Avec le temps et l’accumulation des données, il ne faudrait pas se retrouver à court de stockage pour les sauvegardes. On peut d’ailleurs supprimer les anciennes si l’on est sûr de soi.

Mises à jour : du neuf pour le système et les logiciels installés

Mint 19 répond également à l’une des principales plaintes faites à la distribution : la gestion des mises à jour, principalement celles du système.

L’équipe le reconnait : le nouveau gestionnaire ne « promeut plus la vigilance et les mises à jour sélectionnées ». Mint ne proposait en effet jamais le lot complet, se consacrant uniquement aux plus essentielles. Un comportement qui pouvait lui être reproché par une partie des utilisateurs.

Qu’est-ce qui a changé ? L’arrivée de TimeShift justement. Puisque l’outil permet de revenir simplement à un état antérieur, les mises à jour ne sont plus sélectionnées par l'équipe. D’ailleurs, si aucune sauvegarde n’a été effectuée avant de déclencher le téléchargement, une bannière orange avertit l’utilisateur qu’il aurait tout intérêt à le faire. On imagine que dans une prochaine mouture, le gestionnaire de mises à jour permettra de créer automatiquement un instantané (à la manière de Windows Update).

Mint 19 Tara Cinnamon Mint 19 Tara Cinnamon

Au-delà du nombre de mises à jour, ces dernières sont désormais classées par type, avec de petites icônes sur la gauche. Les boucliers représentent des correctifs de sécurité et sont ainsi affichés en premier. Suivent l’éclair, pour signaler un nouveau kernel, ou encore des flèches vers le haut pour les mises à jour fonctionnelles. Pour ceux qui les ont autorisés, des paquets tiers peuvent également figurer dans la liste, marqués comme tels.

Côté mises à jour logicielles, le Gestionnaire reçoit une kyrielle de petites améliorations : une interface légèrement remaniée, des animations çà et là, un recherche plus réactive, un lancement plus rapide, une gestion uniforme des paquets classiques (APT) et Flatpak ou encore – et enfin – la possibilité de lancer des recherches dans des catégories précises.

Mint 19 Tara Cinnamon Mint 19 Tara Cinnamon

Cinnamon 3.8 : des performances à la hausse

Même si les ajouts précédents sont bienvenus – et communes à toutes les éditions de Mint 19 – c’est bien Cinnamon dans sa version 3.8 qui concentre la majeure partie des nouveautés.

Plus gros point mis en avant : une amélioration générale des performances. Les développeurs assurent avoir identifié de nombreux goulets d’étranglement dans la version 3.6, tant dans le gestionnaire de fenêtres que dans le lancement général des applications. Ils affirment désormais que Cinnamon fait aussi bien que Metacity dans ce domaine.

La différence est-elle perceptible ? En fait, tout dépend de la configuration matérielle de la machine. Sur notre ordinateur de test avec un Core i5 3,2 GHz, 16 Go de mémoire vive et un SSD, on « sent » un mieux, sans que ce soit flagrant. En revanche, dans une machine virtuelle dont la quantité de mémoire vive a été limitée à 1 Go, les gains sont nettement plus évidents. Sans qu’ils soient incroyables, l’ensemble fournit une réelle sensation de réactivité, ce dont personne ne se plaindra.

Une partie des améliorations provient de celles apportées à GNOME, et dont hérite Mint. Les fenêtres nécessitent notamment moins de calculs puisqu’elles sont moins souvent « redessinées ». La hausse de performances se propage en outre à d’autres aspects, comme l’affichage du contenu d’un dossier quand il contient de nombreux éléments et les copies de fichiers depuis et vers des stockages externes USB.

Une très longue liste de nouveautés

Les améliorations de Cinnamon 3.8 sont légion et couvrent pratiquement tous les aspects du système.

Dans l'explorateur de fichiers Nemo, on note en particulier une recherche plus pratique et surtout beaucoup plus rapide. Les résultats s’affichent presque instantanément, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent. Chaque recherche s’accompagne également d’une étoile pour la sauvegarder. L’utilisateur peut alors la relancer plus tard s’il doit régulièrement s’en servir. Un clic droit sur cette étoile permet d’accéder à la liste des recherches enregistrées (encore faut-il le savoir).

Les notifications reçoivent également une attention particulière. Autant le dire tout de suite : elles étaient jusqu’à présent très basiques. Des absences et comportements peu ergonomiques ont donc été gommés.

Elles sont ainsi enfin équipées d’une croix de fermeture. On peut dès lors s’en débarrasser sans avoir à attendre leur disparition ou cliquer dessus pour ouvrir l’application correspondante. D’autre part, une notification survolée par la souris ne disparaîtra plus. On note aussi une nouvelle option pour afficher les panneaux en bas plutôt qu’en haut.

Autre comportement bienvenu, l’effacement des notifications quand l’application concernée est ouverte au premier plan. Le nombre de notifications émises est par ailleurs affiné en fonction des cas. Pour une application classique, le nombre est désormais limité, pour éviter tout spam. Il y a certaines exceptions, notamment les navigateurs, puisque les notifications peuvent venir de nombreux sites.

La gestion du son évolue elle aussi pour adopter un comportement plus cohérent. Désormais, l’utilisateur va définir un niveau maximal sonore pour le système, compris entre 0 et 150 %. Il peut ensuite affiner pour chaque applet et application, entre 0 et le niveau maximal précédemment choisi. Jusqu’ici, Mint fixait ce dernier à 150 %, mais seulement de 0 à 100 % pour les sources individuelles.

Dernier petit bonus pour le son : l’applet permet maintenant de couper indépendamment le micro et les haut-parleurs.

Mint 19 Tara Cinnamon

Améliorations techniques et diverses

Comme à chaque nouvelle version de Mint, Tara améliore la prise en charge du HiDPI. Elle passe par exemple par l’utilisation de GTK3 pour tous les outils internes à la distribution. Il n’y a en fait plus que trois logiciels fournis avec la distribution à ne toujours pas supporter le HiDPI : Hexchat, Gimp et Tomboy Notes.

Le nouveau thème, Mint-Y, contient également des icônes en taille 2x, gardant leur niveau de détail en HiDPI et supprimant le désagréable effet de flou des moutures précédentes. Ces icônes ont par ailleurs été remaniées graphiquement pour leur donner un aspect plus symbolique, suivant la mode actuelle. Elles se veulent plus identifiables, et ont l’avantage de mieux supporter les thèmes sombres.

On pourrait citer pêle-mêle d’autres petits changements techniques :

  • Les réglages réseau ont été importés de GNOME 3.24 en incluant des correctifs de la version 3.26
  • Un meilleur support de GTK 3.22
  • La prise en charge de elogind, systemd-timedated1 et du protocole admin://
  • Une bascule des composants Python sur Python3, sauf les extensions Nemo

Ces apports, ainsi que ceux dédiés aux performances, rendent l’utilisation quotidienne plus souple. Des nouveautés diverses apparaissent ainsi un peu partout dans le système, comme sa capacité à générer des miniatures pour des fichiers pesant jusqu’à 32 Go, la possibilité d’éteindre immédiatement le portable en cas de niveau critique de la batterie et rabat de l’écran, ou encore le support des touches clavier pour la suspension, l’hibernation et la rotation d’écran depuis l’écran verrouillé.

Côté applications, citons aussi quelques mouvements. Par exemple, l’installation par défaut de GNOME Agenda, qui peut fonctionner localement ou en mode synchronisé (Google, Nextcloud ou Exchange). À l’inverse, le client de messagerie multiprotocole Pidgin n’est plus fourni par défaut avec la distribution, même s’il reste disponible dans les dépôts.

Enfin, les applications XApps reçoivent quelques bonus. L’éditeur de texte Xed dispose par exemple d’une nouvelle fenêtre de préférences et d’une interface affinée. Même chose pour le lecteur Xreader, avec en plus une option pour afficher les PDF/ePub récemment ouverts, la possibilité d’effacer les annotations ou encore le réglage de la taille des miniatures.

Une mouture agréable

Mint 19 est un très bon cru. L’utilisation du système au quotidien est plaisante, l’équipe confirmant son soin du détail. Une volonté particulièrement visible dans l’interface, par le choix des couleurs, la lisibilité générale des informations, l’alignement exact des pixels ainsi que les animations, discrètes, mais renforçant l’impression de qualité.

Mint ne conviendra cependant pas à tout le monde, comme les utilisateurs appréciant les toutes dernières versions des composants et logiciels. La philosophie de Mint n’a jamais changé : prudence est mère de toutes les vertus.

Cela étant, et en dépit des instructions, beaucoup seront sans doute tentés par cette mise à jour, puisque la base technique fait le grand saut d’Ubuntu 16.04 à 18.04, soit deux années complètes d’améliorations diverses. Mais les conseils des développeurs seront clairement à suivre : sauvegarde des données, instantanés du système pour ceux qui peuvent, et récupération de l’image ISO pour créer un DVD ou une clé USB de test.

Notez enfin, en cas d'hésitation, que de nombreux utilisateurs de Linux Mint attendent en général la première dot release, dans le cas présent la version 19.1

Écrit par Vincent Hermann

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

Nouvelles bases techniques et évolutions graphiques

TimeShift veut promouvoir la restauration système

Mises à jour : du neuf pour le système et les logiciels installés

Cinnamon 3.8 : des performances à la hausse

Une très longue liste de nouveautés

Améliorations techniques et diverses

Une mouture agréable

Commentaires (46)


Je suis utilisateur de Mint depuis plusieurs années. J’adore cette version. J’ai hâte de la passer en version 19. Le rendu graphique a l’air trop beau.


Bonjour,



Au niveau des paquets snap, mint fait-il le même choix qu’ubuntu? A savoir diffuser pas mal d’application par snap et non plus par les packages habituels?



J’hésite à revenir à mint, mais leur côté “non pro” et débutant côté infra serveur me refroidi.

(cf en 2016 ou 2017 quand leurs serveurs ont été compromis, que des isos vérolés on circulés etc)


TimeShift, je l’utilise avec ArchLinux et il fait vraiment bien le travail.



Cinnamon n’intègre toujours pas un support correct du HiDPI. Soit trop grand (200%), soit trop petit(100%).

Et c’est son plus gros défaut. Je ne peux pas utiliser un seul environnement basé sur GTK à cause de la mauvaise gestion des hautes résolutions.


Bon article. Merci pour les infos. Perso, je conseillerai plutôt timeshift avec rsync, histoire d’avoir la paix - et tant pis si la granularité est un peu plus forte.

En tout cas, il serait intéressant que ceux qui tentent la mise à jour vers la 19, sans réinstallation, nous disent si ça passe ou pas. Ubuntu a fait d’énormes progrès dans ce domaine, avec un sans faute de la 16.04 vers la 18.04 sur de multiples configurations.

En cette sympathique journée, ayons une pensée émue à toutes les victimes de la vente forcée, dont ces pauvres usagers windows, qui galèrent entre leurs mises à jour, leurs virus, leurs anti-virus, les délires ergonomiques et télémétriques de l’éditeur de Redmont, etc.

 

 


Merci de garder ta condescendance à 2 balles pour toi.


Petite question, sans vraiment de lien avec l’article (bien que) : quelle différence entre Ubuntu et Mint concrètement ?

Comme cette dernière est basée sur la première.



Je ne suis pas un de ces experts linux barbu, même si je l’utilise quotidiennement pour le boulot.

Autant je vois la différence entre Debian et Ubuntu, qui est assez marquante malgré l’héritage, autant là j’ai un peu plus de mal à cerner ce qui différence réellement ces deux distrib ^^








Furanku a écrit :



Petite question, sans vraiment de lien avec l’article (bien que) : quelle différence entre Ubuntu et Mint concrètement ?

Comme cette dernière est basée sur la première.



Je ne suis pas un de ces experts linux barbu, même si je l’utilise quotidiennement pour le boulot.

Autant je vois la différence entre Debian et Ubuntu, qui est assez marquante malgré l’héritage, autant là j’ai un peu plus de mal à cerner ce qui différence réellement ces deux distrib ^^



 



Les environnements de bureau proposés par défauts sont différents. Il y a un peu plus de logiciel privatifs installés dès l’installation. Mais sinon pas grand chose d’autant plus que les ports utilises sont ceux d’ubuntu.









hansi a écrit :



En tout cas, il serait intéressant que ceux qui tentent la mise à jour vers la 19, sans réinstallation, nous disent si ça passe ou pas. /  dont ces pauvres usagers windows, qui galèrent entre leurs mises à jour





Il est vraiment énorme ton poste !



 



Je pensais que ça allait quand même plus loin qu’un simple Cinnamon vs Unity/Gnome, que c’était plus profond ^^



Merci :)








hansi a écrit :



En cette sympathique journée, ayons une pensée émue à toutes les victimes de la vente forcée, dont ces pauvres usagers windows, qui galèrent entre leurs mises à jour, leurs virus, leurs anti-virus, les délires ergonomiques et télémétriques de l’éditeur de Redmont, etc.







Et bien sûr, c’est la faute à l’Europe…



Juste pour aller un poil plus loin, et sauf erreur, la distribution Linux Mint intègre des drivers propriétaires. j’ai fait une install récente de la 17.2 (avant-hier) et j’ai eu au démarrage un chooser pour utiliser les drivers nVidia pour ma carte graphique, c’est pas grand chose, mais avec du matériel commun, ça évite d’aller farfouiller le net pour télécharger des trucs et des bidules (je me rappelle de galères pas possible avec le driver d’une Radeon 1900XT).



J’ai découvert la distro en 2008 et je la trouve plutôt bien foutue (pas besoin de tripatouiller 3h dans les paramètres de configuration ou d’installer pléthore de logiciels supplémentaires pour un usage basique, parce que c’est déjà dans la distro).



En gros, si tu veux un système gratuit et que les notions de libre te passent par dessus la tête parce que ce qui t’intéresse, c’est que ça marche, tu peux essayer Mint.


Sur lequel des deux il y a plus de logiciels privatifs ?



Edit : je pense que j’ai ma réponse avec le post juste au dessus <img data-src=" />








hansi a écrit :



Bon article. Merci pour les infos. Perso, je conseillerai plutôt timeshift avec rsync, histoire d’avoir la paix - et tant pis si la granularité est un peu plus forte.

En tout cas, il serait intéressant que ceux qui tentent la mise à jour vers la 19, sans réinstallation, nous disent si ça passe ou pas. Ubuntu a fait d’énormes progrès dans ce domaine, avec un sans faute de la 16.04 vers la 18.04 sur de multiples configurations.

En cette sympathique journée, ayons une pensée émue à toutes les victimes de la vente forcée, dont ces pauvres usagers windows, qui galèrent entre leurs mises à jour, leurs virus, leurs anti-virus, les délires ergonomiques et télémétriques de l’éditeur de Redmont, etc.





t’es en avance, trolldi’ c’est demain <img data-src=" />



En fait, Mint tente au maximum de faciliter l’utilisation (de l’installation à l’usage) de la distribution (et en extrapolant, de GNU-Linux).



La base est Ubuntu, parce qu’elle fait déjà en grande partie le job, mais va plus loin en proposant/intégrant plus de logiciels proprio à l’installation. Par contre, ils virent quelques “dérives” d’Ubuntu, style la télémétrie ajoutée récemment.



&nbsp;C’est vrai qu’il est difficile d’y voir des différences profondes, outre l’environnement Cinnamon, mais ils ont choisi une voie légèrement parallèle par rapport à Ubuntu.



Au final, après être passé d’Ubuntu à Debian, j’ai fini sur Mint et au quotidien, c’est celle qui me convient le plus (pour les facilités apportées et les prises de tête en moins).


Bah écoute, c’est gentil de penser à nous. Pour ma part, mon ordi s’est mis à jour hier de la 1803 à version beta 1810 tout seul comme un grand en 10 min montre en main, sans pépin, calmement, sereinement, sans sourciller.



PS : pourrais-tu éviter de faire des fautes aux noms propres : c’est Redmond, avec un D, merci <img data-src=" />








sephirostoy a écrit :



Bah écoute, c’est gentil de penser à nous. Pour ma part, mon ordi s’est mis à jour hier de la 1803 à version beta 1810 tout seul comme un grand en 10 min montre en main, sans pépin, calmement, sereinement, sans sourciller.



PS : pourrais-tu éviter de faire des fautes aux noms propres : c’est Redmond, avec un D, merci <img data-src=" />







+1.



Même moi, qui suis un linux-addict, je n’oserai pas sortir un argumentaire aussi moisi.



Microsoft a des pratiques commerciales très contestables, c’est un fait, Windows a des défauts, mais faut être honnête : les pires tares du système ont été corrigées avec Seven, même s’il reste encore du boulot.









Commentaire_supprime a écrit :



Et bien sûr, c’est la faute à l’Europe…



Aux médias qui osent ne jamais parler du parti qui monte (à l’échelle je suppose, vu que leur nombre d’adhérents stagne depuis très longtemps) malgré leur silence <img data-src=" />









hansi a écrit :



En cette sympathique journée, ayons une pensée émue à toutes les victimes de la vente forcée, dont ces pauvres usagers windows, qui galèrent entre leurs mises à jour, leurs virus, leurs anti-virus, les délires ergonomiques et télémétriques de l’éditeur de Redmont, etc.





Et qui bénéficient d’une ergonomie efficace, d’une stabilité, de fonctions de gestion de réseaux et d’une logithèque professionnelle côté poste de travail depuis 1993…

Si Windows n’avait que des défauts plus personne ne serait dessus depuis longtemps tu sais. <img data-src=" />



J’ai du installer mon premier linux en 1995, jamais je n’ai eu envie d’y rester en tant que poste client (en serveur c’est génial). Ca fait à peine 10 ans que c’est potable selon moi sur le poste client et ça s’arrange de plus en plus avec l’abandon de X11 et la maturation de KDE/Gnome mais on n’est pas encore au niveau de Mac os ou Windows.



Salut,



C’est un peu plus que cela, la gestion des dépots et des upgrades est un peu différente.



Sinon je viens de faire l’upgrade de Sonya (18.3) vers Tara (19) sans souci, c’est un peu long quand même !! (sur un portable Vaio core i7 4Go+SSD)



Mais ça tourne nickel.



A+








yvan a écrit :



…une ergonomie efficace…





C’est ton avis, que je respecte. Mais ça reste un avis. Perso Windows est l’OS où je suis le plus paumé (et je dois l’utiliser au quotidien). Je suis bien plus à l’aise au quotidien sous OSX ou n’importe quelle distrib linux.



Je la fais tourner sur une VM (2 Coeurs / 8Go de ram) sur mon PC Pro et ça fonctionne pas mal.



Un freeze au tout début mais depuis RAS. Elle semble légèrement plus fluide que la 18.3 dont j’étais très satisfait.



Je suis sur la version Mate avec une installation propre (comme tous les 2 ans).


moi c’est l’inverse…

sous OSX je ne me retrouve pas du tout ( j’ai galere comme un porc a configurer le AIr de ma dame en debut d’annee)

Je l’utilise une fois chaque 36 du mois, mais je ne comprend que dalle <img data-src=" />. Ce n’est pas desagreable a l’utilisation mais je suis completement perdu.








jpaul a écrit :



C’est ton avis, que je respecte. Mais ça reste un avis. Perso Windows est l’OS où je suis le plus paumé (et je dois l’utiliser au quotidien). Je suis bien plus à l’aise au quotidien sous OSX ou n’importe quelle distrib linux.







+1.



Globalement, je trouve Linux mieux fichu point de vue ergonomie générale que Windows, sachant que ce commentaire est aussi un avis avec une forte part de subjectivité.



Je note que, quand même, Windows s’est quand même bien amélioré sur ce point précis avec XP d’abord, et Seven ensuite.







Notice me Sempai a écrit :



moi c’est l’inverse…

sous OSX je ne me retrouve pas du tout ( j’ai galere comme un porc a configurer le AIr de ma dame en debut d’annee)

Je l’utilise une fois chaque 36 du mois, mais je ne comprend que dalle <img data-src=" />. Ce n’est pas desagreable a l’utilisation mais je suis completement perdu.







Pour OSX, je n’y touche pas trop, le seul sur lequel je peux avoir la main est celui de mon père à 600 km de chez moi, et je ne le vois que deux fois par an.



Ce que j’en vois, c’est que je trouve que la logique pour les volumes de stockage me paraît absconse, et que les commandes pour faire plus qu’ouvrir un fichier ne me semblent pas intuitives. Mais bon, si je l’utilisais au quotidien, je pense que ça serait différent.









Commentaire_supprime a écrit :



Et bien sûr, c’est la faute à l’Europe…





Et l’OTAN, le groupe Bilderberg, les US, les Young Leaders.







Patch a écrit :



Aux médias qui osent ne jamais parler du parti qui monte (à l’échelle je suppose, vu que leur nombre d’adhérents stagne depuis très longtemps) malgré leur silence <img data-src=" />





<img data-src=" />









Commentaire_supprime a écrit :



Globalement, je trouve Linux mieux fichu point de vue ergonomie générale que Windows, sachant que ce commentaire est aussi un avis avec une forte part de subjectivité.



Je le trouve aussi bien plus logique que Windows sur pas mal de points, même si j’ai encore du mal à l’utiliser à cause de mes habitudes de vieux windowsien…

OSX (et MacOS en général), je ne supporte pas. Rien que les boutons fermer/fenêtrer/réduire à gauche de la barre de menu me donne des boutons d’urticaire.



Ce n’est pas qu’un avis, Il y a sous windows comme sous mac Os (et sous les logiciels issus de kde Gnome sous linux) une ergonomie unifiée et des principes récurrents de fonctionnement (onglets, listes, menus, popups etc.). Sous linux pendant longtemps l’ergonomie dépendait du développeur, c’était donc un vrai cauchemard de s’y retrouver d’une appli à l’autre.



Après je ne veux pas être méchant mais en 2018 être perdu sous Windows heu… sous NT4 je veux bien mais windows 10 même le 3eme âge y arrive :P


C’est integré comment KDE dans Mint ?


« Cas type, Firefox, présent en version 60, estampillée ESR (Extended Support Release) par Mozilla, ce malgré la publication récente de Firefox 61. »



Mis à jour aujourd’hui vers la 61.


il me semble qu’ils ont abandonné la version officielle








PsychoQuark a écrit :



Juste pour aller un poil plus loin, et sauf erreur, la distribution Linux Mint intègre des drivers propriétaires. j’ai fait une install récente de la 17.2 (avant-hier) et j’ai eu au démarrage un chooser pour utiliser les drivers nVidia pour ma carte graphique, c’est pas grand chose, mais avec du matériel commun, ça évite d’aller farfouiller le net pour télécharger des trucs et des bidules (je me rappelle de galères pas possible avec le driver d’une Radeon 1900XT).



J’ai découvert la distro en 2008 et je la trouve plutôt bien foutue (pas besoin de tripatouiller 3h dans les paramètres de configuration ou d’installer pléthore de logiciels supplémentaires pour un usage basique, parce que c’est déjà dans la distro).



En gros, si tu veux un système gratuit et que les notions de libre te passent par dessus la tête parce que ce qui t’intéresse, c’est que ça marche, tu peux essayer Mint.











darksky1985 a écrit :



En fait, Mint tente au maximum de faciliter l’utilisation (de l’installation à l’usage) de la distribution (et en extrapolant, de GNU-Linux).



La base est Ubuntu, parce qu’elle fait déjà en grande partie le job, mais va plus loin en proposant/intégrant plus de logiciels proprio à l’installation. Par contre, ils virent quelques “dérives” d’Ubuntu, style la télémétrie ajoutée récemment.



 C’est vrai qu’il est difficile d’y voir des différences profondes, outre l’environnement Cinnamon, mais ils ont choisi une voie légèrement parallèle par rapport à Ubuntu.



Au final, après être passé d’Ubuntu à Debian, j’ai fini sur Mint et au quotidien, c’est celle qui me convient le plus (pour les facilités apportées et les prises de tête en moins).











LeJediGris a écrit :



Salut,



C’est un peu plus que cela, la gestion des dépots et des upgrades est un peu différente.



Sinon je viens de faire l’upgrade de Sonya (18.3) vers Tara (19) sans souci, c’est un peu long quand même !! (sur un portable Vaio core i7 4Go+SSD)



Mais ça tourne nickel.



A+





Merci à vous pour vos réponses <img data-src=" />

Ça rejoint beaucoup ce que je pensais : un peu plus “user-friendly” dans l’ensemble. Je ne voyais pas de différences flagrantes comme du Debian/Ubuntu par exemple.





Par contre on en est encore à ce vieux débat Windows vs Linux (j’utilise les deux au quotidien pour info) ? Faut passer à autre chose ! Seul macOS pue <img data-src=" />









yvan a écrit :



Après je ne veux pas être méchant mais en 2018 être perdu sous Windows heu… sous NT4 je veux bien mais windows 10 même le 3eme âge y arrive :P





Et bien, il faudra en parler à mes “anciens”. Je les forme à utiliser W10 et ils sont absolument paumés.

Ils ont du mal à comprendre certaines logiques mises en place par Microsoft. Lorsqu’on baigne dedans, ça passe crème, mais quand il faut expliquer pourquoi et comment, c’est un peu plus sport.

Mon père, 3ème âge, est bien perdu aussi.









yvan a écrit :





Si Windows n’avait que des défauts plus personne ne serait dessus depuis longtemps tu sais. <img data-src=" />





Aucun libriste sérieux ne dit qu’il n’a que des défauts, mais il en a qui sont, pour eux (j’en suis); totalement rédhibitoires.

Et même s’il n’en restait qu’un seul de cette nature (qui a dit Cortana ?), ce serait toujours : “Non merci, pas pour moi” <img data-src=" />

Car la plupart des reproches ne sont plus, maintenant, liés à des défauts techniques …









yvan a écrit :



Après je ne veux pas être méchant mais en 2018 être perdu sous Windows heu… sous NT4 je veux bien mais windows 10 même le 3eme âge y arrive :P





C’est pas ce qu’on appelle “le nivellement par le bas” ?



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Furanku a écrit :



Par contre on en est encore à ce vieux débat Windows vs Linux (j’utilise les deux au quotidien pour info) ? Faut passer à autre chose ! Seul macOS pue <img data-src=" />







\begin{vendredi avec quelques heures d’avance}



Et seul BSD est génial !



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\end{vendredi avec quelques heures d’avance}



En tout cas, je ne remercierai jamais assez un utilisateur de ce site (dont j’ai oublié le pseudo) de m’avoir conseillé de tester Mint lorsque je cherchais une alternative quand windows 10 est sorti avec sa nouvelle politique sur la vie privée et les données personnelles.

Je suis 90% du temps désormais sous Mint, les 10% restants pour des logiciels incompatibles.

Encore merci utilisateur de Next Impact<img data-src=" />


Pour les 10% restant tu peux installer Wine ou au pire VirtualBox <img data-src=" />



Quels sont les logiciels?








Geronimo54 a écrit :



Pour les 10% restant tu peux installer Wine ou au pire VirtualBox <img data-src=" />



Quels sont les logiciels?







+1. J’utilise Wine avec Anyrail par exemple, et je n’ai aucun problème.



J’ai fait de la virtualisation sur mon NUC (8Go de RAM quand même, ça aide) et ça fonctionnait très bien.









Geronimo54 a écrit :



Pour les 10% restant tu peux installer Wine ou au pire VirtualBox <img data-src=" />



Quels sont les logiciels?







Office 2016 résiste encore à Wine (de mémoire), et beaucoup de jeux ne fonctionnent pas non plus avec Wine (Overwatch par exemple). Sans compter la MAO (Cubase pour moi perso) :(









sephirostoy a écrit :



Pour ma part, mon ordi s’est mis à jour hier de la 1803 à version beta 1810 tout seul comme un grand en 10 min montre en main, sans pépin, calmement, sereinement, sans sourciller.





Tu as bien du bol. Là, je mets à jour un ordi vers 1803. J’ai commencé hier en fin de matinée. En quittant le boulot, il était encore occupé. Et je le reprends ce matin. En gros, il me l’aura fait en 24 h.



Mais c’est vrai que, d’ordinaire, ça prend plutôt une demi journée. Mais le gros souci, c’est qu’il te l’impose. Quand tu allumes ton ordi pour bosser et qu’il te bloque par ses mises à jour, c’est la merdre !









DHMO a écrit :



Tu as bien du bol. Là, je mets à jour un ordi vers 1803. J’ai commencé hier en fin de matinée. En quittant le boulot, il était encore occupé. Et je le reprends ce matin. En gros, il me l’aura fait en 24 h.



Mais c’est vrai que, d’ordinaire, ça prend plutôt une demi journée. Mais le gros souci, c’est qu’il te l’impose. Quand tu allumes ton ordi pour bosser et qu’il te bloque par ses mises à jour, c’est la merdre !





Pour la dernière mise à jour (perso, pas pro, on a un WSUS), il m’a demandé quand je voulais l’installer, j’ai pu mettre une date genre dimanche à 1h00 du mat, du coup c’est assez pratique quand même.



24h pour passer à la 1803 ? Et une demie-journée en moyenne par version majeure ?!

Heu… C’est pas ton PC qui a un soucis ? <img data-src=" />



C’est juste hallucinant comme durée là. Déjà que je peste quand ça traine sur certains PC que je fais (dont le mien) parce que ça prend plus de 30 minutes… <img data-src=" />



Sinon ça fait un moment que Windows ne t’impose plus les mises à jour. Faut juste penser à configurer Windows Update convenablement ;)


Ce n’est pas un foudre de guerre mais ce n’est pas le mien. Je n’ai jamais utilisé 10 au quotidien (mais, au boulot, on va devoir y passer).



Sur le mien, je lance Windows peut-être deux fois par an pour… les mises à jour.



Le truc des mises à jour qui prennent la matinée, ce sont des connaissances qui m’en parlent parce qu’elles ont 10 au boulot. On y éteint les ordis le soir donc pas possible de programmer des mises à jour automatiques en plein week-end.








DHMO a écrit :



Ce n’est pas un foudre de guerre mais ce n’est pas le mien. Je n’ai jamais utilisé 10 au quotidien (mais, au boulot, on va devoir y passer).



Sur le mien, je lance Windows peut-être deux fois par an pour… les mises à jour.



Le truc des mises à jour qui prennent la matinée, ce sont des connaissances qui m’en parlent parce qu’elles ont 10 au boulot. On y éteint les ordis le soir donc pas possible de programmer des mises à jour automatiques en plein week-end.





Tu peux les programmer entre midi et 2 si au taff il n’y a pas les maj centralisées par un WSUS :), sur tous nos postes, la dernière maj a pris entre 15-30 min environ, et ce sont juste des PC de bureau (core i5 8Go ram, SSD 256Go).

&nbsp;



Ce sont des fonctionnalités débrayables à ma connaissance.

Tout comme l’usage “cloud” du logiciel n’est pas obligatoire.








Patch a écrit :



Je le trouve aussi bien plus logique que Windows sur pas mal de points, même si j’ai encore du mal à l’utiliser à cause de mes habitudes de vieux windowsien…

OSX (et MacOS en général), je ne supporte pas. Rien que les boutons fermer/fenêtrer/réduire à gauche de la barre de menu me donne des boutons d’urticaire.







Ah ben moi c’est tout l’inverse, je préfère les environnements de bureau qui mettent les boutons à gauche <img data-src=" />



Perso j’utilise MATE, hérité de Gnome 2.







Commentaire_supprime a écrit :



+1.



Globalement, je trouve Linux mieux fichu point de vue ergonomie générale que Windows, sachant que ce commentaire est aussi un avis avec une forte part de subjectivité.







Il faudrait plutôt indiquer le nom de ton environnement de bureau à la place de Linux (sauf si tu parles des couches basses du système). Les distributions Linux ont une diversité assez forte à ce sujet avec plusieurs méthodes et idées différentes.

Ce qui est clairement le plus gros avantage de ces systèmes, on peut les tuner à notre goût et ne pas dépendre des choix dictatoriaux et unilatéraux d’un éditeur.



@SebGF

x2 pour Mate, qui reste le meilleur GUI, loin devant le finder du mac qui n’a plus évolué en 20 ans, et les délires tactiles/solllications de microsoft, qui sont une insulte à l’efficacité sur le poste de travail.