Nos confrères commencent par rappeler que les deux scores visent des objectifs similaires, mais avec des approches différentes, notamment sur les pièces prises en compte pour établir la note et les « agents de réparation » (c’est-à-dire qui effectue la réparation).
La pondération des éléments pour établir la note finale est très différente. Chez iFixit par exemple, 80 % de la note vient de la facilité de démontage et de remontage, contre 20 % pour l’indice français sur le démontage seulement.
De nombreux points sont abordés par iFixit, mais « en fin de compte, les deux sont des outils utiles pour apprendre à quel point un appareil est réparable ». Une dernière différence importante : l’indice français de réparabilité est auto-évalué par les fabricants, alors qu’iFixit met les mains dans le cambouis.