Broadcom a en effet reçu « l’approbation finale de la transaction de la Competition and Markets Authority ». Ce n’est pas la première autorité du genre, loin de là.
L’Union européenne, l’Australie, le Brésil, le Canada, Israël, l’Afrique du Sud et Taïwan ont déjà donné leur feu vert, parfois sous certaines conditions. « Aux États-Unis, les délais d’attente avant la fusion […] ont expiré, et il n’y a aucun obstacle juridique à la clôture en vertu de la réglementation américaine sur les fusions ».
Ne reste donc plus que le régulateur chinois. Broadcom est confiant dans le fait de l’obtenir avant le 30 octobre, date pour le moment prévue pour finaliser l’offre.