Des victimes de violences conjugales racontent leur cyberharcèlementCrédits : Elisa Ventur/unsplash

Logiciel espion, détournement de RIB, boîtier équipé d’une carte SIM dans la voiture, détournement de la domotique… À l’heure du numérique, les violences conjugales aussi prennent un tour technologique.

Six victimes de violences conjugales témoignent du pan numérique de ce qu’elles subissent auprès de France Info. Où l’on découvre que France Connect et l’adresse mail peuvent aussi servir à maltraiter une conjointe. Et que même un compte Vinted peut servir à retrouver l’adresse d’une personne.

Selon une étude du centre Hubertine Auclert, neuf victimes de violences conjugales sur dix (elles sont 200 000 en France chaque année) subissent aussi des violences numériques.

Une autre enquête, menée par Ipsos pour le compte de l’association Féministes contre le cyberharcèlement, montrait en 2022 que la surveillance des proches se banalisent, avec un répondant sur cinq qui admettait avoir déjà surveillé ou fouillé le téléphone de son ou sa partenaire sans autorisation.

Souvent, les plaintes sont classées sans suite. Une absence de condamnation qui participe au sentiment d’impunité des agresseurs, selon plusieurs de leurs victimes.

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