La répression des fraudes commence avec la société Feliccia Taskiran et sa dirigeante Gulfer Taskiran. Elle reproche la mise en place de pratiques commerciales trompeuses sur Snapchat (@feliccia_GUL) et Instagram (@ feli_ccia).
Elle enjoint aussi une autre influenceuse de « cesser des pratiques commerciales trompeuses » sur sa chaine YouTube, Instagram et TikTok. Elle « était rémunérée par des partenaires commerciaux pour promouvoir leurs produits ou services dans ses publications. Toutefois, les publications en question ne mentionnaient pas leur intention commerciale ».
La DGCCRF reproche aussi à Mélanie Orlenko (@melanie_orl) des « pratiques commerciales trompeuses » sur son compte Instagram. Il est question de « donner l’impression que le service présenté est licite alors qu’il ne l’est pas » et de « ne pas indiquer le caractère publicitaire des publications ».
Enfin, Amandine Pellissard « a mis en œuvre des pratiques commerciales trompeuses sur le compte Instagram @amandine.pellissard.off (auparavant dénommé @famille.pellissard.tf1) ». Les reproches sont à peu près les mêmes que pour Mélanie Orlenko.