Le ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique explique dans une vidéo publiée sur Instagram qu’il y a trois principaux risques : l’écologie, les enjeux sociaux et la sécurité (en particulier les agents utilisés pour réaliser les tissus).
« Il y a maintenant plusieurs mois, à l’autonome 2022, j’ai saisi la DGCCRF pour lui demander d’enquêter sur les dérives de la fast fashion et en particulier Shein. […] Je vous donnerai les résultats de cette enquête à l’automne prochain ».
Il en appelle au passage à la responsabilité de chacun en ajoutant que l’« acte de consommation qui est encore la réponse la plus efficace ».
Cette annonce intervient quelques jours après que des influenceurs ont visité des usines en Chine de la marque Shein et n’ont pas tari d’éloges à leur sujet, comme le rapporte notamment le Figaro.