Depuis l’arrivée d’Elon Musk à sa tête, Twitter aurait accepté 83 % plus souvent les requêtes de censure de gouvernements autoritaires comme ceux de Turquie ou d’Inde, rapporte El Pais.
Ces retraits de contenu ont notamment eu lieu en périodes électorales, Twitter bloquant plusieurs opposants au président turc Recep Tayyip Erdogan, candidat à sa propre succession. Celui-ci a remporté le scrutin du 28 mai, dans un vote contesté, note Insider.
Épinglé par l’éditorialiste de Bloomberg Matthew Yglesias pour le paradoxe entre les actes du réseau social et les discours de son PDG - qui se présentait il y a moins d’un an comme un « absolutiste de la liberté d’expression » -, Elon Musk a répondu ne pas avoir de « choix réel » en la matière.