En cause, une erreur humaine, selon Reuters qui s’appuie sur les déclarations d’un porte-parole du fabricant automobile. De quoi s’agit-il ? D’un « système cloud » configuré pour être librement accessible à tout le monde, alors qu’il aurait dû être privé.
On y retrouve des informations comme l’emplacement et le numéro d’identification des voitures connectées. Toujours selon le fabricant, aucune utilisation malveillante n’aurait été détecté. La CNIL japonaise a été informée de l’incident, affirme Toyota.