Elle sera visible dans l’hémisphère nord, notamment dans la quasi-totalité de l’Europe. « Son degré maximum d’obscuration atteindra 82,2% et les conditions d’observation, parmi les plus favorables du point de vue astronomique, seront au Kazakhstan », précise l’Observatoire de Paris.
« Si en France métropolitaine, le pourcentage de la surface solaire éclipsée est globalement faible, la rencontre entre deux astres constitue toujours un spectacle naturel parmi les plus saisissants qu’il soit donné d’observer », ajoute-t-il.
Le pourcentage sera par exemple de 19,5 % à Strasbourg, 17 % à Lille, 8 % à Poitiers, 3,5 % à Pau. La prochaine éclipse partielle devrait arriver le 29 mars 2025.
Un rappel extrêmement important : on n’observe jamais le Soleil sans protection spéciale !