« J'achète Manchester United ». Ces quelques mots extraits d’un tweet délesté par Elon Musk voilà 6 heures aux États-Unis ont entraîné une vague d’articles de presse sur le sujet, même en France.
Seul détail, son message, liké près de 500 000 fois, a été suivi d’un autre post quatre heures plus tard : Elon Musk y indique que « non, c'est une blague de longue date sur Twitter. Je n'achète aucune équipe sportive ».
Une précision, « aimée » 30 000 fois, qui a évidemment conduit à une nouvelle série d’articles, outre-Manche notamment. Elon Musk est pourtant un habitué de ce genre de tweet.
Plus que le journalisme, les grands gagnants de ces soubresauts sont les éditeurs et agences de presse. Ils pourront réclamer toujours plus de droits voisins à Google & co pour l’indexation de ces articles épiloguant sur la température du patron de Tesla.
Et ça, ce n’est pas une blague.