Le système est pour rappel édité par Google pour redonner une seconde vie à d’anciennes machines. Si le matériel est reconnu – 400 machines sont certifiées – Chrome OS Flex se présente alors comme le Chrome OS habituel. À une différence près, et elle est de taille : il n’y a pas d’accès au Play Store, donc aux applications Android.
Pour le reste, il s’agit du même système, très tourné vers le cloud et relativement léger. Dans la communication de Google d’ailleurs, cette légèreté est mise en avant, la consommation globale du système étant annoncée comme 20 % moindre que le type de système que l’on pouvait trouver sur ces machines.
Chrome OS Flex réclame un processeur x64, 4 Go de mémoire et 16 Go de stockage au minimum pour fonctionner. L’installation passe par une clé USB.