La plainte de Donald Trump à l’encontre de Twitter a été jugée irrecevable par un tribunal californien. L’ancien président américain contestait son bannissement numérique par la plateforme, décidé à l’occasion de l’invasion du Capitole.
Cependant, le juge de district James Donato a considéré que Twitter n’avait pas malmené le droit à la liberté d’expression de Donald Trump, le premier amendement de la Constitution américaine ne s’appliquant qu’aux restrictions imposées par le gouvernement, pas aux restrictions imposées par des sociétés privées.