Sa nomination a été confirmée lors du conseil des ministres du 9 février. Il souhaite mettre « la recherche fondamentale au service de la société » ; c’est la raison d’être du CNRS selon lui.
« Plus précisément, le CNRS doit conduire une recherche fondamentale du meilleur niveau international et la mettre au service de la société, dans toutes ses dimensions, autrement dit positionner la science au cœur de la société », peut-on lire dans le communiqué du CNRS.
« Le CNRS doit s’appuyer pour cela sur trois leviers dont il est le seul à bénéficier à un tel niveau et qui font sa force : un potentiel d’interdisciplinarité unique, un réseau de partenariats académiques exceptionnel et un ensemble remarquable de coopérations internationales. Chacun de ces leviers doit être soigneusement entretenu et même renforcé ».