« Les dimensions anxiogènes et sécuritaires dominent souvent désormais les décisions collectives qui régulent le numérique », déplorent leurs représentants (dont Renaissance Numérique, Wikimédia France, l’ISOC, la LDH, l'Unaf, e-Enfance, StopFisha, etc.) dans une tribune parue dans le quotidien Libération.
« Trop souvent, la régulation numérique se fait sans la société, ou sur des débats éloignés des pratiques. Trop souvent, elle crée l’exclusion des pratiques, plutôt que leur accompagnement. Nous, acteurs de cette société civile, ne pouvons pas nous en satisfaire. »
À l'approche des présidentielles, ils défendent un « internet libre et ouvert, où chacun est appelé à devenir acteur et responsable, porteur de communs, avec des espaces marchands et non marchands », et plaident pour « en libérer le potentiel et en réduire les conséquences nocives ».
Ils lancent aussi un site dédié, numeriqueavectous.fr, qui promet d’autres initiatives, et propose une newsletter dédiée.