Après un choc, des lésions cérébrales peuvent être affectées et entraîner « un handicap "invisible" diminuant les interactions avec les autres ».
Problèmes selon le CNRS : « Les tests permettant actuellement d’évaluer ce handicap peuvent comporter des biais en ne ciblant pas correctement les processus cognitifs à évaluer, tels qu’ils sont mis en jeu dans la réalité des interactions quotidiennes ».
Maud Champagne-Lavau (chercheuse au CNRS) « a mis au point et testé sur des patients un nouveau test décrit dans Journal of Neurospychology. Cet outil inédit, nommé EVICog, reproduit des interactions sociales sous la forme d’un échange avec un agent virtuel ».
L’avantage étant que grâce à cette technique, « les patients sont ainsi placés dans une situation plus proche de la réalité qu’avec les tests actuels ». Ils échangent avec des « agents virtuels » qui sont « dirigés par un expérimentateur, pouvant être un psychologue, qui choisit les réponses verbales et émotionnelles de ces agents virtuels parmi celles programmées ».