Le réseau social sort du bois après que le Wall Street Journal a publié une enquête sur Facebook et Instagram, l’accusant notamment d’être conscient de faire du mal aux adolescents, sans agir en conséquence.
Sans surprise, Nick Clegg (vice-président de Facebook) dément formellement dans un billet de blog : « ces histoires contiennent des interprétations délibérément erronées de ce que nous essayons de faire ».
« Au cœur de cette affaire se trouve une fausse allégation : Facebook mène des recherches puis les ignore systématiquement et volontairement si les conclusions sont gênantes pour l'entreprise ». En plus de l'enquête du Wall Street Journal, il y a récemment eu celle du New York Times sur un rapport autour des théories du complot et des fake news.
Pour l’entreprise de Menlo Park, cette accusation « ne peut être faite qu'en sélectionnant certaines citations […] présentant des problèmes complexes et nuancés comme s'il n'y avait qu'une seule bonne réponse ».
La société promet évidemment de continuer d’investir dans les recherches autour de ces sujets, de se « poser les questions difficiles » et d’améliorer ses produits en conséquence… mais qu’en sera-t-il de la transparence ?