Elles sont en lien avec une plainte pour abus de position dominante déposée fin 2019, explique l’AFP. La crise sanitaire a retardé les travaux, mais l’enquête a repris de plus belle cette année, avec une perquisition chez Doctolib en mai.
L’Autorité de la concurrence confirme à nos confrères des « opérations de visite et de saisie », précisant que « cela ne préjuge bien évidemment pas de la culpabilité de l'entreprise concernée par les pratiques présumées, que seule une instruction au fond permettra, le cas échéant, d'établir ».
« Il n'y a aucun sujet », se contente de répondre Doctolib à l’AFP.