Dès septembre, Google annonce qu'un plus grand nombre de moteurs de recherche par défaut seront proposés sur Android.
Une mesure non instinctive, mais poussée par des discussions avec la Commission européenne, elles-mêmes engagées dans le sillage d’une décision rendue en 2018 par l’instance bruxelloise.
Le 18 juillet 2018, la Commission infligeait en effet à Google une amende de 4,34 milliards d'euros pour « pratiques illégales concernant les appareils mobiles Android en vue de renforcer la position dominante de son moteur de recherche ».
Sur cette page, Google précise les conditions d’éligibilité des moteurs concurrents désireux être affichés sur l’écran de choix : il devra être généraliste ou encore être proposé dans la langue des pays concernés et disponible sur Google Play.