Pour résumer, le centre national pour la recherche scientifique explique que « des études sur des populations largement vaccinées, en Israël et au Royaume-Uni, confirment « in vivo » la protection promise par différents vaccins ».
De plus, « le risque que les personnes vaccinées transmettent le virus serait aussi potentiellement réduit ». Dans le cadre d’une étude, les chercheurs arrivent à la conclusion qu’une « semaine après avoir reçu sa deuxième dose de vaccin, une personne a dix fois moins de risque d’être infectée sans le savoir et de potentiellement transmettre le virus ».
Deux autres conclusions sont également mises en avant. Tout d’abord, « la quantité d'ARN viral nasopharyngé détectée par le test RT-PCR était 3 à 4,5 fois plus faible chez les patients vaccinés avec le Pfizer depuis douze jours ».
Ensuite, les « premières données sur le vaccin Moderna (...), montrent, avec six mois de recul, une bonne persistance des anticorps induits ». Il reste par contre des questions sans réponse, comme le rythme des rappels…