Le navigateur est arrivé hier en version 3.7, aussi bien sur ordinateur que pour les appareils Android. La première déploie notamment plusieurs améliorations de réactivité.
L’ouverture et la fermeture des onglets sont ainsi deux fois plus rapides. Un chiffre difficile à vérifier, mais la différence se sent aisément. Les ouvertures de nouvelles fenêtres sont également 26 % plus rapides. En outre, la version Mac prend maintenant en charge le SoC M1 d’Apple. Selon Vivaldi, les performances y sont doublées par rapport à la même version fonctionnant sous Rosetta.
Toujours sur ordinateurs, plusieurs améliorations sont à noter, dont le rechargement automatique des panneaux web, la fonction « Empiler les onglets par nom de domaine » (qui s’exécute sur tous les onglets pour désencombrer la barre), le menu de page web personnalisable, l’affichage en gras des mots-clés et le rechargement périodique des sites depuis les commandes rapides, et enfin le début des mises à jour silencieuses pour Windows.
Concernant ce dernier point, Vivaldi évoque un processus et un cycle. Comprendre que le navigateur pose seulement les premières briques pour rendre la fonction possible. À terme, Vivaldi se mettra donc à jour comme Chrome et Firefox, les nouvelles données étant téléchargées en tâche de fond avant d’être appliquées au démarrage suivant du navigateur.
Sur Android, le navigateur revoit sa page d’accueil pour simplifier l’accès à certains éléments, notamment les signets. On peut par exemple en ajouter facilement un nouveau dans le Speed Dial, plutôt que d’aller chercher ce dernier en fin de liste des dossiers. On peut également ajouter et modifier des descriptions et alias pour les signets.
Un assistant accueille également les nouveaux utilisateurs comme sur ordinateur, avec choix de l’activation du bloqueur de publicités et traqueurs, la configuration de la barre d’onglets flexible, le choix d’un thème et la synchronisation des données.