Un peu plus d'une semaine après l'incendie, l'équipe commence à remettre en service de premiers éléments qui n'ont pas été détruits, au niveau de l'installation électrique et du réseau.
Le système de watercooling est entièrement fonctionnel, les équipements proches des serveurs sont vérifiés un à un. Il faudra néanmoins attendre l'accord de l'assureur pour que tout puisse repartir une fois que les premiers travaux seront terminés. Le détail est ici.
Les conséquences de cet incident commencent d'ailleurs à se faire sentir même jusque chez les concurrents, qui communiquent parfois directement auprès de leurs clients pour tenter de les rassurer, ou font face à des demandes d'audits plus poussés sur les risques d'incendie.
Mais chaque entreprise qui dépend d'un hébergement en ligne se demande sans doute aujourd'hui ce qui lui arriverait si elle était concernée par une destruction pure et simple des serveurs de son hébergeur principal et si elle est réellement protégée face à un tel risque.