Dans un communiqué succinct, elle rappelle que, comme ces brèches concernent les serveurs de messagerie, « l'accès à des données personnelles via les e-mails peut avoir été obtenu par l'attaquant ».
L’enquête est toujours en cours. En attendant, et « par mesure de précaution, l'ABE a décidé de mettre ses systèmes de messagerie hors ligne ». L’Autorité bancaire européenne n’est pas la seule institution visée, loin de là. Ces failles auraient en effet permis de pirater des « centaines de milliers » de serveurs.