L’institut « a identifié un test positif aux anticorps anti-SARS-CoV-2 chez 353 participants parmi lesquels 13 ont été prélevés entre novembre 2019 et janvier 2020 et ont été confirmés par des tests d’anticorps neutralisants ».
Des enquêtes ont été menées sur 11 de ces participants et « ont révélé l’existence de symptômes pouvant être liés à une infection par le virus responsable de la Covid-19 ou à des situations à risque d’exposition potentielle au SARS-CoV-2 dès novembre 2019 ».
Une publication dans European Journal of Epidemiology a été faite dans la foulée et, selon les chercheurs, ces résultats « suggèrent une circulation précoce du virus en Europe ».