C'est le constat fait par Vincent Manilève, qui suit le sujet depuis quelques années déjà. Car la problématique est tout sauf nouvelle et s'étend d'ailleurs bien au-delà des influenceurs et des réseaux sociaux, comme nous l'évoquions déjà en 2014, notamment dans le cas de YouTube.
Si les choses se sont améliorées depuis, les mauvaises pratiques ont la dent dure. Plus personne n'a désormais l'excuse d'un déficit d'information ou de pédagogie sur le sujet, mais certains entretiennent toujours un certain flou.
On constate d'ailleurs que de manière générale, ce qui est de la publicité est plus souvent évoqué sous des termes plus positifs, comme « partenariats » et autres initiatives en faveur du lecteur et autres « fans ». Ce, malgré une loi toujours claire sur le sujet.