Aux États-Unis, les enjeux ne sont pas les mêmes qu’en Europe, comme le rappelle France Télévisions : « les doses ne manquent pas. C’est bien l’acheminement qui pose problème ». « Je ne peux pas ouvrir plus de centres de vaccination, car les vaccins n'arrivent pas. C’est le plus grand enjeu pour nous », expliquait le maire de New York (Bill de Blasio).
C’est là qu’Amazon et Walmart entrent en jeu : les deux géants de la distribution proposent leur aide pour la logistique, d’autant que le second dispose de boutiques physiques un peu partout aux États-Unis, avec des rayons surgelés, et donc une chaîne du froid déjà en place.
Walmart propose déjà de mini officines pour vacciner contre la grippe, qui pourraient donc s’étendre au vaccin contre la Covid-19. Google se joint à la lutte en proposant certains bâtiments, parkings et locaux pour installer des centres de vaccination.
La société en profite pour « mettre en évidence les informations faisant autorité et les sites de vaccination locaux dans son moteur de recherche et sur Maps ». Enfin, Google propose « 150 millions de dollars pour promouvoir l'éducation et l'accès équitable aux vaccins ».