Le géant de la publicité en ligne, première régie publicitaire au monde, fait à nouveau face à des charges relatives à un abus de position dominante. Selon le Journal du Net, elle épingle Google Ads, accusé de « profiter de sa position dominante pour favoriser ses propres outils et évacuer la concurrence ».
À la fois juge et partie, Google Ads vend des espaces publicitaires aux enchères et en achète. Par ailleurs, « son stack technologique, Google Ad Manager, est aujourd'hui adopté par plus de 95 % des grands médias français alors que DV360, son outil d'achat, est lui utilisé par plus de la moitié des annonceurs en France ».
Une audience est prévue dans les prochains mois.