Après une levée de boucliers de l’opposition, le texte instaurant un passeport sanitaire a été repoussé de « plusieurs mois » selon Olivier Véran, cité par Libération.
Ce projet de loi prévoyait de « subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transport ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage négatif », comme l’indique Olivier Tesquet sur Twitter.
De plus, en cas de crise ou d’urgence sanitaire, mais aussi pendant « une situation sanitaire exceptionnelle », il ouvrait la voie à la mise « en œuvre des traitements de données à caractère personnel concernant la santé des personnes, le cas échéant sans leur consentement ».