Ces départs s’inscrivent « dans le cadre d’une répression des vols présumés de technologies », explique Reuters.
« Les chercheurs avaient quitté le pays après que le département a lancé plusieurs enquêtes criminelles contre des opérateurs chinois pour espionnage industriel ou technologique », ajoutent nos confrères, en se basant sur des déclarations de John Demers, du département américain de la Justice.
William Evanina, patron de l’unité de contre-espionnage de l’agence nationale du renseignement, ajoute que des agents chinois ciblaient déjà le président élu Joe Biden ainsi que ses proches collaborateurs.