« Une aide directe pour les commerçants qui veulent se digitaliser eux-mêmes ». Avec un doigt de volontarisme, Bruno Le Maire annonce qu’un chèque de 500 euros leur sera accordé via l’agence des services de paiement de l’État début janvier. Elle devrait être versée au profit de tous les commerces fermés pendant le confinement qui souhaitent désormais créer leur site internet.
Se « digitaliser » coûterait, selon le ministre de de l’Économie, des Finances et de la Relance, 1 500 euros. De son côté, la Fédération française des associations de commerçants lance « Ma Vitrine en ligne », un service numérique mis en place avec Google.
Le communiqué assure que « concrètement, les commerçants pourront prendre contact avec des experts, afin de mettre en place rapidement leur profil d’établissement sur le moteur de recherche, et proposer de nouveaux services e-commerce à destination de leur clientèle, comme le click & collect ».
Sur le site officiel, on pourra découvrir « les formations et outils Google qui peuvent vous aider à faire connaître votre entreprise » et un « Guide Google pour les PME ». Bref, un service qui vient aussi aider Google à se faire connaître des futurs digitalisés.