Visiblement, la mesure initiée par Roselyne Bachelot, à savoir un reste à charge de 1 centime sur l’envoi de livres par la Poste, n’a pas été jugée suffisante.
Demain, le Conseil d’État examinera une procédure d’urgence lancée par des libraires. Ils entendent contraindre le Premier ministre à « rétablir le droit de vendre des livres neufs ou d'occasion dans le respect des mêmes règles sanitaires que celles imposées aux commerces ouverts ».
L’audience au Conseil d’État est fixée à 11h00.