Le gendarme des télécoms rappelle que ce service « permet à chaque utilisateur d'alerter l’Autorité des dysfonctionnements rencontrés dans ses relations avec les opérateurs fixes, mobiles, internet, postaux ».
Lancée en 2017, la plateforme a depuis recueilli plus de 90 000 alertes. Fort de cette expérience, le régulateur annonce du changement avec un « parcours de signalement repensé afin de fluidifier le dépôt d’une alerte ».
Il est aussi (et surtout) question d’une ouverture plus large aux signalements des marchands de presse et des éditeurs. Comme prévu, la plateforme « s’ouvre également à de nouveaux publics que sont les développeurs d’applications, les opérateurs télécoms et les associations de consommateurs ».
Dernier point et pas des moindres, J’alerte l’Arcep « sera bientôt intégré aux autres outils de régulation par la donnée développés par l’Arcep offrant aux utilisateurs une meilleure information sur les réseaux : Mon réseau mobile, Carte fibre, Ma connexion internet et Wehe ».
Les signalements sont gérés en interne via un outil baptisé Dactari, « complètement repensé » afin de gagner en efficacité.