Le navigateur vante aussi la réussite de sa stratégie, précisant avoir séduit près d'un million de créateurs désormais vérifiés.
Il a également distribué plus de 2 000 campagnes de publicité pour 460 annonceurs dans 200 pays. Le tout en multipliant les partenariats avec les éditeurs, services en lien avec la vie privée ou les cryptomonnaies.
Il y a un an, l'équipe publiait la version 1.0 de Brave, qui a plus que doublé sa base d'utilisateurs depuis. Rien que sur iOS, sa croissance d'utilisateurs actifs journaliers est de 34 %. Pour autant, Brave ne livre pas de chiffres détaillés sur la réussite de son modèle économique ou sa rentabilité.
Du côté des fonctionnalités, on apprenait il y a quelques jours que le support natif du système distribué IPFS était bientôt finalisé. C'est Brendan Eich qui l'a lui-même annoncé. Un sujet sur lequel nous revenons plus en détails au sein du second numéro de notre magazine.
Commentaires (4)
#1
J’ai utilisé Brave pendant longtemps mais j’ai fini par le quitter à cause des (trop) nombreuses publicités qu’il affiche souvent sur la page “Nouvel Onglet” - essentiellement des pubs pour des services de cryptomonnaies, mais avec une intégration assez sauvage de l’application dans le navigateur en lui-même !
Je suis passé à chrlauncher et j’en suis bien plus satisfait ^^
Par contre Brave reste excellent sur mobile, et ils ont un bon suivi des mises à jour Chromium en général.
#1.1
c’est désactivable dans la page nouvel onglet.
en fait tu mets ce que tu veux dans cette page.
#2
J’ai été agacé par les publicité en nouvel onglet et en cherchant j’ai découvert Vivaldi, et depuis que j’ai découvert l’univers de synchronisation Vivaldi browser j’ai abandonné brave.
Le partage de mot de passe, de favoris, de notes et le blocage de publicité intégré m’ont seduit 🤗
#3
J’ai lâché Brave pour Vivaldi bien plus performant.