« De toute évidence, nous assistons à une activité croissante du mouvement anti-5G dans l’Union européenne », expliquent-ils dans une lettre adressée à la Commission européenne et consultée par Reuters.
Ils demandent donc d’« adopter une approche active, à long terme et systémique ». « Nous sommes déterminés à contribuer à cette initiative à l’échelle de l’UE grâce à notre expertise nationale et nos bonnes pratiques qui permettent de lutter contre le problème de la désinformation sur la 5G et les champs électromagnétiques », ajoutent-ils.
Ils demandent plus de recherche scientifique sur les risques liés à la santé, une campagne de sensibilisation et d’information et « suggèrent également un vaste débat en la matière prenant en compte les craintes et des inquiétudes des opposants à la 5G », précisent nos confrères.
La liste des 15 pays signataires, dont la France ne fait pas partie comporte : Pologne, Suède, Autriche, Bulgarie, Croatie, République tchèque, Chypre, Estonie, Finlande, Grèce, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Portugal et Slovaquie.