Le réseau social explique que la plupart des systèmes de traduction utilisent l’anglais comme pierre angulaire. Par exemple, passer du chinois au français se fait en deux étapes : chinois vers anglais et anglais vers français, doublant ainsi les risques de faire une erreur.
« Notre modèle s'entraîne directement sur les données du chinois vers le français pour mieux préserver le sens. Il surpasse de 10 points les systèmes centrés sur l'anglais par rapport à l’algorithme BLEU largement utilisé pour évaluer les traductions automatiques », explique Facebook.
M2M-100 est open source, sous licence MIT. Il est disponible dans ce dépôt GitHub, avec des exemples d’utilisation.