Celle qui compte dans ses membres Amazon, Apple, eBay, Facebook, Google, Microsoft ou encore Mozilla et Twitter dénonce la volonté de plusieurs acteurs de revoir trop largement la responsabilité des intermédiaires techniques.
Dans le cadre du paquet relatif au Digital Service Act, l’idée serait que ces nouvelles règles à venir frappent non seulement les contenus illicites, mais aussi ceux qui, sans être illicites, seraient dangereux.
Pour l'association, une telle réforme, bien trop gourmande, conduirait les intermédiaires à une analyse trop complexe, et pourrait entraîner de « graves répercussions sur la liberté d’expression ».
Elle anticipe aussi de lourdes difficultés d’application, compte tenu de la diversité d’approches entre les États membres.