Stockage de données sur ADN synthétique : le CNRS entre espoirs et limitations techniquesCrédits : from2015/iStock

Dans son Journal, le Centre national de la recherche scientifique revient sur ce support « en théorie inégalé en termes de densité d’information et de longévité, mais qui souffre encore de limitations techniques à surmonter ».

Le CNRS commence par remettre les choses en contexte : « un seul gramme peut théoriquement contenir jusqu’à 455 exabits d’informations, soit 455 milliards de milliards de bits. Toutes les données du monde tiendraient alors dans une boîte à chaussures ».

Pour détailler les enjeux, le CNRS a interviewé Marc Antonini, directeur de recherche au laboratoire d’Informatique, signaux et systèmes de Sophia Antipolis (I3S). Celui-ci travaille sur OligoArchive, « un projet de trois ans financé à hauteur de trois millions d’euros par la Commission européenne ».

Le CNRS n’est pas la seule institution à s’intéresser au stockage d’informations dans l’ADN, loin de là. Nous en avions parlé dans les évolutions attendues du numériques et de l’informatique. Microsoft a publié une vidéo explicative il y a quelques mois.

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