Il n’est pas question de risque pour la sécurité nationale cette fois, mais d’un « "risque inacceptable" que les équipements fournis à la société puissent être utilisés à des fins militaires », explique Reuters.
Désormais, les fournisseurs de Semiconductor Manufacturing International Corporation (SMIC) devront demander des licences d’exportation individuelles, comme l’explique le département du Commerce dans une lettre lue par nos confrères.
SMIC affirme de son côté n’avoir aucun lien avec l’armée chinoise.