Après un arrêt technique de 20 mois, l'ESRF (European Synchrotron Radiation Facility) a rouvert ses portes cet été, avec des performances décuplées.
Il propose désormais aux chercheurs « un faisceau trente fois plus petit, plus stable, cent fois plus brillant pour une même surface éclairée et qui possède des qualités de cohérence optique uniques », explique le CEA.
Les chercheurs sont désormais au travail pour mettre à niveau leur matériel afin de profiter pleinement de ces nouvelles caractéristiques pour l'étude des nanostructures en catalyse et microélectronique, mais aussi sur l'imagerie de tissus biologiques.