Quand Donald Trump a signé deux décrets début août pour interdire TikTok et WeChat (valables 45 jours plus tard), les modalités d’application étaient extrêmement vagues. Comme justificatif, le président brandissait une « urgence nationale » et des risques pour la sécurité du pays.
Alors que la date fatidique approche, le département de la Justice est venu clarifier la situation : il « ne prévoit pas de cibler des personnes ou des groupes qui téléchargeraient ou utiliseraient WeChat à des fins personnelles ou commerciales, et elles ne feraient face à aucune sanction pénale ou civile », comme le rapporte Reuters.
Il ajoute néanmoins que « l'utilisation de l'application pour ce genre de communications pourrait directement ou indirectement être altérée par des mesures ciblées sur d'autres opérations ».