Selon Reuters et Microsoft, des « pirates informatiques liés à la Russie, la Chine et l’Iran tentaient d’espionner des personnes dans les entourages de Donald Trump et de Joe Biden ». Durant la dernière élection, de telles pratiques avaient déjà été pointées du doigt, et la messagerie d’Hillary Clinton avait été piratée.
Des pirates chinois s’en seraient ainsi pris à des personnes « en liens étroits avec les campagnes présidentielles américaines et les candidats », dont un partisan de Joe Biden, et « au moins une personnalité de premier plan auparavant liée à l’administration Trump », affirme Tom Burt, vice-président de Microsoft.
La Russie, la Chine et l’Iran ont (évidemment) rejeté ces accusations, indiquent nos confrères.