Mais le secrétaire d'État au numérique confie à nos confrères de Soft Power que « les gens n'ont pas tous bien compris à quoi ça sert. Je regrette cela, mais je ne regrette pas que nous ayons fait cet app ».
Il revient également sur le volet numérique du plan de relance et autres situations actuelles, comme la position de la France (et de l'Europe) vis-à-vis du pouvoir des plateformes.