Après une analyse technique et un article sur ses méthodes marketing, l'entreprise a publié un communiqué. La réponse est celle souvent apportée lorsque de tels produits sont mis en cause : « plusieurs irrégularités rédhibitoires dans son protocole, qui faussent le résultat obtenu ».
L'entreprise met en avant son protocole, non détaillé, « s’approchant des tests réalisés par le laboratoire EMITECH ». Ce dernier est d'ailleurs celui ayant effectué « des tests indépendants réalisés [...] accrédité Cofrac » servant de base à l'affirmation « scientifiquement prouvé » mise en avant par la marque.
Il ne reste plus qu'à attendre de voir si l'ANFR et l'ANSES se pencheront à leur tour sur la question. Et si la DGCCRF se décide un jour à se saisir de manière plus générale des produits « anti-ondes » qui se multiplient ces dernières années.