La première est aux États-Unis (San Francisco), contre Mohammad Zaghar et son site Massroot8 qui « demandait aux utilisateurs de fournir leurs informations d’identification à Facebook ».
La seconde plainte se déroule à Madrid (en Espagne) vise MGP25 Cyberint Service et son fondateur. Ils sont accusés d’avoir proposé un logiciel permettant de diffuser automatiquement des « J’aime » et commentaires sur Instagram.
Le réseau social affirme avoir systématiquement contacté les personnes/sociétés pour leur demander de cesser leurs activités, sans succès.
Selon Facebook, qui multiplient plaintes et les communiqués sur le sujet depuis le scandale Cambridge Analytica, ces actions « témoignent de [son] engagement à appliquer [ses] politiques et à tenir les gens responsables de l'utilisation abusive de [ses] services ».
Pas plus tard qu’hier, un billet de blog revenait d’ailleurs sur les mesures prises pour la protection de la vie privée.