Cette action est le fruit de « huit années de suivi et de planification », explique la société. Jeudi 5 mars, un tribunal de New York « a rendu une ordonnance autorisant Microsoft à prendre le contrôle de l'infrastructure américaine utilisée par Necurs pour distribuer des malwares et infecter les ordinateurs des victimes ».
Ce n’est pas la seule action menée pour tenter d’exterminer ce botnet : « Nous avons pu prédire avec précision plus de six millions de noms de domaines uniques qui seraient créés au cours des 25 prochains mois », ajoute Microsoft.
Ils ont évidemment été signalés aux autorités compétentes dans les pays concernés. Necurs serait exploité par des pirates se trouvant en Russie.