Après Lydia, c’est la deuxième fois que le géant chinois investit dans une fintech française en l’espace de quelques jours. Ce tour de table a également attiré le fonds DST Global, en plus des investisseurs historiques Valar Ventures et Alven.
« Tencent, tout comme DST, s'intéresse beaucoup aux néobanques et connaît bien ce modèle. Quand il a su qu'on levait des fonds, il nous a rapidement contactés », affirme Alexandre Prot, le patron de la néobanque pensée pour les professionnels, au Journal du Net.
Cette manne financière servira évidemment à assurer la croissance de l’entreprise, mais aussi à obtenir le dossier d'agrément d'établissement de crédit. « Reconnue comme établissement de paiement depuis 2018, la start-up, qui a mis sur pied l'an dernier son propre système d'information, deviendra ainsi une véritable banque, capable de prêter de l'argent à ses clients », explique Les Echos.
Depuis son lancement en 2016, la jeune pousse a levé 136 millions d’euros.