La société israélienne développe ses propres puces pour le deep learning. Le fondeur explique que cette acquisition s’inscrit dans sa stratégie consistant à proposer à ses clients « des solutions pour répondre à tous les besoins de performance, depuis l’intelligent edge jusqu’aux datacenters ».
« Habana restera une unité commerciale indépendante, continuera d'être dirigée par son équipe de direction actuelle » et son siège restera en Israël, affirme la société de Santa Clara. Cette dernière connaît déjà bien Habana Labs puisqu’elle avait investi de l’argent via Intel Capital.
Le géant de Santa Clara continue ainsi la stratégie de croissance externe qu'il a engagé il y a quelques années, notamment pour se développer dans l'IA et la multiplication des types de processeurs proposés à ses clients.
Habana Labs et ses produits rejoindront ainsi les puces de traitement vidéo de Movidius, les FPGA d'Altera, les processeurs « neuronaux » de Nervana, etc.