Selon la Hadopi, 16 % des internautes accèdent « à des contenus audiovisuels et sportifs de manière illégale, que ce soit directement sur les plateformes elles-mêmes ou à partir de liens vers des sites illicites accessibles via ces réseaux ».
Sur les « réseaux sociaux » étudiés, ce sont YouTube et Facebook qui remportent la palme des plateformes les plus plébiscitées à cette fin, loin devant Twitter ou Reddit. « Les réseaux sociaux offrent à des consommateurs illicites un point d’entrée unique sur les contenus » en conclut la Hadopi.
L’Arcom, future autorité de régulation des communications électroniques et audiovisuelles, verra ses compétences élargies sur l’ensemble de ces sites, une fois la grande loi audiovisuelle votée.
- L’étude Hadopi-IFOP (réalisée auprès de 1 506 personnes entre février et mars 2019)